-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Dossier - Jezebel S. Mercury

Crime.net
Crime.net

Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr
Jezebel Mercury35 ansFémininFrançaisePansexuelleProstituée / Gérante d'une maison closeThe Lewd OneLyudiMalfaisantAmasser toujours plus d'argent et de lancer sa propre marque de maison close, comme Matryoshkalust
Peut-on réellement considérer la luxure comme un trait à part entière chez Jezebel ? Peut-être. On pourrait même qualifier ça de curiosité. Jezebel est ouverte à presque tout, surtout les choses qu'elle n'a jamais essayées. Peut-être par simple curiosité, mais surtout, pour trouver un moyen d'intégrer ces pratiques dans sa maison close. Après tout, si vous êtes bon dans quelque chose, vaux mieux le monétiser de nos jours ! Si une chose ne lui convient pas, elle peut toujours les proposer à ses Filles. L'une d'entre elle finira par accepter par dépit, ou au vu du montant, si le fétiche est assez rare et lucratif.

S'il y a bien un sujet qui l'a toujours fasciné, c'est la sexualité. Certainement, à cause d'une enfance pieuse, ce tabou du sexe a fait naître chez Jezebel cette curiosité presque maladive : quand l'occasion se présentait, elle essayait toujours de questionner les autres sur leur vie sexuelle. Cette soif d'en savoir plus sur quelque chose qui lui était caché, car uniquement réservée à la reproduction lui avait valu d'être traité de perverse durant son adolescence. Mais n'est-ce pas normal pour des jeunes gens de se poser ce genre de question ? Maintenant, Jezebel est une adulte, elle peut librement poser ses questions, surtout depuis que ce monde est complètement en ruine, physiquement et moralement. Sans aucune honte, elle est capable de vous poser la question la plus personnelle qui soit. Il ne faut pas être timide pour être gérante d'un bordel, et Jezebel ne l'a jamais vraiment été.

greed
Alors qu'elle n'avait plus "rien", qu'elle devait refaire sa vie, Jezebel n'a rien trouver de mieux que d'exploiter le plus gros défaut des hommes, selon elle : le sexe. Le sexe est un moyen facile pour elle de se faire de l'argent et malgré son ego, elle a fait de sa prostitution, une force. Si tu es bon dans quelque chose, monétise-le.

Se servir des autres pour son propre confort n'est pas une chose nouvelle pour Jezebel, c'est dans sa nature d'utiliser les autres pour s'assurer de ne pas lever le petit doigt. Mais pour que cela vous rapporte quelque chose, elle a dû l'apprendre en travaillant. Elle sait convaincre et persuader. Quelle est la différence, me demanderez-vous ? Pour convaincre, il faut utiliser des mots, de la logique et des arguments. A contrario, persuader, c'est manipuler le cœur, les sentiments… Vous comprendrez rapidement que pour arriver à ses fins, Jezebel n'a aucune honte à utiliser son corps, et elle ne le fait jamais de manière subtile.

pride
Ce n'est pas du narcissisme. Seulement ceux qui détestent madame Mercury diront qu'elle est narcissique. Pourquoi avoir honte de son propre corps ? Elle est bien au courant de ses proportions, de son pouvoir de séduction. Elle a certainement du charisme, il en faut pour tenir une maison close. Construire une réputation n'est pas chose facile, être prostituée n'est pas aussi gratifiant que secrétaire lorsque vous annoncez votre métier détour d'une conversation.

Vaniteuse ? Appelez ça comme vous le voulez, en attendant elle dégage un "on-ne-sait-quoi", elle sait l'effet qu'elle produit sur les gens quand elle se pavane dans des tenues qu'on jugerait dans le monde d'avant comme trop tendancieuses. D'après elle, elle n'est pas orgueilleuse. Jezebel sait qu'elle est attirante, envoûtante, sexy… Elle connaît sa valeur, sans pour autant l’exagérer. Utiliser ses charmes, mais quand il le faut, et sur qui il faut. Ce serait très embarrassant pour n'importe qui si on refusait ses avances, et elle en a bien conscience.

wrath.
Elle peut faire preuve de patience, là n'est pas le problème. Après tout, les meilleurs plats sont ceux qui mijotent. Mais la prendre pour une idiote, par contre, c'est ce qui fait exploser la cocotte. Vous me direz, qui aime être pris pour un écervelé ?! Personne. Peut-être que Jezebel vous ment sans vergogne, mais elle a ses raisons. Vous, par contre… N'essayez pas de lui mentir. Ou du moins espérait qu'elle ne le découvre jamais ! Hypocrite ? Pas qu'un peu. Colérique ? Pas vraiment. Elle arrive à gérer ses émotions la plupart du temps, mais la colère, ce n'est même pas la peine. C'est une émotion bien trop forte pour elle. Pour les autres. Heureusement qu'elle ne s'énerve pas pour un rien, ce serait vraiment catastrophique : imaginez que vous lui apportiez le mauvais café, et qu'elle vous le jette au visage. Horrible !

Même si elle semble facile à approcher, la jeune femme a une certaine méfiance de l'homme. Du genre masculin, pas de l'humain. Il n'y a pas que les hommes qui trompent leurs femmes, le contraire est possible, Jezebel ne vous dira pas le contraire. Aucun des deux n'est pardonnable. C'est même la pire des offenses pour elle. Complètement contradictoire avec son boulot de patronne d'une maison close. Après tout, c'est forcément les hommes célibataires ou les hommes mariés frustrés (ou pas) qui se rendent dans sa maison...
sensual
Jezebel a certainement hérité les gênes de son père de ce côté-là. Elle est grande, alors que la taille “moyenne” d’une femme approche les un mètre soixante-cinq, Jezebel se targue de la taille pour faire du mannequinat, soit un mètre quatre-vingt-deux. Il n’y a pas que les longues jambes de la trentenaire qui attire l'œil. À vrai dire, il est même compliqué de ne pas fixer intensément sa poitrine. Une poitrine plus que généreuse, beaucoup diront que ce sont des faux. Malgré tout, pour porter tout ça, elle se targue d’un bonnet F. Une poitrine naturelle donc, qu’elle aime mettre en valeur, jouer avec pour mettre mal à l’aise les autres. Un attribut de charme, certes, mais aussi son argument de vente. Tout son corps était son outil de travail, Jezebel doit en prendre soin. Avec un passé d’ancienne volleyeuse et la fréquentation régulière de la salle de sport, elle a pu sculpter ce corps. La motivation était le regard des autres, des hommes comme des femmes. Sa peau est pâle, légèrement rosée et délicate. Non seulement elle prend soin de sa santé, mais aussi de sa peau. Une autre chose qui démarque Jezebel, sa chevelure : une longue chevelure lui arrivant aux fesses. Une chevelure qu’elle doit entretenir régulièrement, sans compter qu’elle n’a pas du tout sa couleur naturelle : un violet foncé. Imaginez la facture chez le coiffeur… Une chevelure violette donc, mais lisse et soyeuse. Elle est là pour vendre du rêve, mais cet entretien à un coup. Sa couleur naturelle est le châtain clair. Une couleur qui va parfaitement avec ses yeux bleu clair.

La couleur de ses yeux, sa coloration naturelle et la forme de son visage, elle le tient de sa mère. Un visage doux, presque maternelle maintenant qu’elle a la trentaine. Des grands yeux qui laisseraient penser à de la naïveté, mais un regard lascif et observateur. La forme de ses sourcils est tout à fait particulière : court et épais, appuyant presque sur la maturité de son visage. Bien sûr, elle teint aussi ses sourcils.
         
Du côté dressing, Jezebel s’habille parfois en fonction de son humeur, mais aussi de ses clients. Mais la majorité du temps, il s’agit de tenues moulantes. Jupes ou robes courtes, pulls moulants, débardeur qui laisserait presque dépasser un sein… Enfin, toutes les tenues possibles et imaginables pour attirer le regard. Jezebel n’a pas honte de montrer ses formes, et elle le prouve. D’ailleurs, même si elle a des tenues diverses, elle affectionne tout particulièrement la lingerie. Les tissus délicats, pleins de dentelles, révélateurs ou non… Elle possède une sacrée collection de sous-vêtements, parfois offerts par les clients eux-mêmes, parfois des anciens “cadeaux” de son précédent boulot. Elle agrémente aussi ses tenues d’accessoires, coquette au possible. Pour ce qui est du maquillage, comme les rides commencent à pointer le bout de leur nez, Jezebel cache les imperfections sur un fond de teint léger, mais porte surtout du rouge à lèvres et du mascara. Tout dépend de l'occasion pour laquelle elle doit s’apprêter ! Elle est donc bien loin du pot de peinture.
Salomé Michelle Anne Beaufort.
Salomé naquit dans une famille française ayant déjà deux enfants. Deux frères avec six et trois de différence d'âge. Elle était la cadette, la préférée de sa mère. Une famille modeste, monsieur et madame Tout-le-monde qui vivaient et élevaient leurs enfants dans l'amour et la crainte de Dieu. Salomé, comme ses frères, ont tous rejoint des écoles catholiques privées, non-mixtes. Là, on leur apprit bien sûr les bases de l'enseignement, histoire, mathématiques, français… Mais aussi du catéchisme, pourquoi Jésus était mort pour leur péché et pourquoi Salomé devait devenir une femme à marier.
   
En y repensant, elle avait appris la couture, la cuisine et d'autres choses que sa mère faisait. Son père était joaillier, mais sa mère ne travaillait pas. Elle s'occupait de la maison et des enfants. Elle n'avait aucune indépendance financière, ni même aucune mobilité, n'ayant pas le permis. Salomé regardait sa mère avec pitié parfois, comme-ci elle était une créature qui subissait son sort et qui ne pouvait pas faire autrement. Elle espérait ne jamais devenir comme sa mère, une femme mariée, avec des enfants et qui n'avait rien d'autre à faire que trier des chaussettes toute la journée.
   
C'était à cette même période, quand elle entrait dans l'adolescence qu'elle comprit beaucoup de choses sur sa famille. Salomé voyait son frère aîné être en conflit presque permanent avec son père, et pour cause : il était homosexuel. Nous sommes en 2010, en France, et l'homosexualité n'était pas encore très acceptée dans des familles comme la sienne, religieuse. Son père avait aussi un problème sur le contrôle : il voulait toujours tout savoir sur sa progéniture et surtout sa femme. Salomé était encore jeune à l'époque, à peine douze ans. Elle pensait que son frère était habité par le démon, car il aimait d'autres hommes, mais ce n'était que les mots de son père qu'elle répétait. Elle ne se rendit compte du mal qu'elle lui avait uniquement quand son aîné fuguât. Forcément, la mère était dans tous ses états. Elle n'avait rien dit pendant les disputes, mais quand son enfant, la chair de sa chair, n'était plus au nid, ce fut la panique, mais son mari n'en avait que faire d'un garçon qu'il reniait à cause de sa sexualité. Salomé, elle, surprenait sa mère pleurer tous les soirs dans la chambre de son frère. Mais sa tristesse s'estompa après quelques mois. Salomé ne savait pas quoi penser delà situation, elle avait perdu son frère aîné. Sa relation avec lui s'était dégradée à cause de son père, de son endoctrinement... Et de toute façon, elle avait un autre grand frère.
   
Il était devenu le préféré de son père en une nuit, après la fugue de l'aîné. Mais il avait encore plus de pression sur les épaules, son père renforçant son emprise, sa soif de contrôle sur lui. Sur eux. Car Salomé en pâtit aussi. Il voulait savoir avec qui elle discutait en cours, ce qu'elle faisait… Il la força même à porter l'une de ces bagues ridicules de pureté.
   
Dans un lycée catholique pour filles, l'un des sujets de discussion de ses camarades de classe, c'est le sexe prénuptial. Salomé entendit bien des choses : le faire avant, se réserver pour le mariage, le faire autrement pour garder sa virginité en cas de contrôle… Salomé était toute curieuse de ce sujet : elle n'avait jamais vu son père et sa mère échanger de gestes tendres. Elle s'abreuvait surtout des paroles de ses camarades de classe qui racontaient leur exploit à voix basse. Elle avait une oreille attentive pour ce genre de ragots, de secrets… Et comme toutes les autres, à la sortie des classes, elle remontait sa jupe au-dessus de ses genoux. Même si elles avaient des uniformes reconnaissables, elles n'en avaient rien à faire ! Ensuite, elles allaient rejoindre les garçons au parc proche de leur lycée, s'en suivaient des jeux de séduction entre les garçons et les filles.
   
C'est certainement à cette période que Salomé pu comprendre un peu plus le frère renié : il y avait cette fille, dans le même club de volley qu'elle. Plutôt jolie, un petit nez, des lèvres roses, des cheveux courts et noirs. Elle avait ce petit regard timide, cachée derrière des lunettes rondes. C'était plus complexe pour Salomé, peut-être était-elle plus sensible à la beauté candide de cette adolescente que les autres. Mais il y avait aussi ce garçon, grand et sec, cheveux en bataille et roux avec un regard vif et pétillant. C'était le cheminement naturel, normal d'aimer un homme. Dieu avait conçu la femme pour l'homme. Et Salomé en avait marre que Dieu lui dicte quoi penser et qui aimer. Même si c'était plutôt son père qui interprétait les préceptes de Dieu.
   
Ces mêmes principes avec lesquels il rentra en conflit avec sa femme. La mère de Salomé ne voulait pas qu'elle soit comme, dépendante d'un homme. Elle voulait qu'elle ait un avenir, qu'elle puisse se débrouiller seule. Après plusieurs jours à se disputer, le père finit par proposer 2 choix de carrière à sa fille : soit elle devenait infirmière, soit elle trouvait un travail dans le secrétariat. Salomé n'était pas du tout motivée par la bonté d'aider les autres. Non, elle voulait de l'argent et partir. C'est donc vers un Brevet de Technicien Supérieur qu'elle s'orienta, plus précisément en gestion d'entreprise.
   
Des études qu'elle put faire dans un lycée mixte. De quoi faire grimper son père aux rideaux ! D'ailleurs, c'est même là qu'elle rencontra son futur époux. David Noyer, cheveux bruns, les yeux noisette, des fossettes et une mâchoire fine. C'était le grand frère d'une de ses coéquipiers de volley, il était plus vieux que Salomé de seulement quatre ans. Étonnement, il arriva à séduire le père de Salomé, il pensait qu'il était un gendre parfait. En même temps, fils de notaire, ça avait de quoi émoustiller le père. De fil en aiguille, les deux gens finissaient en couple. David n'était pas religieux, et avait un peu de mal à saisir ce concept delà virginité avant le mariage. En même temps, ce genre de principe se perdait, surtout en 2018. Salomé ne démordait pas.
   
D'ailleurs, quand ils furent en âge de se fiancer, ils le firent. La jeune Salomé avait eu son diplôme avec mention bien, David reprendrait l'affaire de son père sans soucis. Et elle était là, "le plus beau jour de la vie d'une femme", à l'autel de l'église, dans une magnifique robe blanche qui épousait ses formes à merveilles. Un symbole de pureté. Elle aimait David, elle l'aimait vraiment très fort. Il était beau, mais il avait cet esprit vif, intelligent et doux. Et elle l'épousa.
   
Il y avait des jours où Salomé regrettait ce mariage, cette vie. À peine 20 ans, déjà marié avec un boulot de secrétaire dans une entreprise de lingerie. David rentrait de plus en plus tard, alors que sa femme l'attendait, allongée dans le lit, en petite tenue. Au début de leur mariage, tout était parfait, surtout au lit. Salomé pouvait satisfaire toutes ses envies de sexe. Même David était étonné par son appétit sexuel. Ils le faisaient souvent, régulièrement. Et puis plus les années passaient, plus les galipettes se faisaient rares ce monsieur Noyer rentrait tard du travail. Se sentant délaissé, mais sans se plaindre, elle essaya de trouver des solutions. Peut-être que c'était elle qui en demandait trop à son mari. Elle finit par lui proposer des jeux de rôles sexuels, pourquoi pas du bondage ? Les premières séances ravivaient la flamme chez lui, mais après quelques jours, il semblait vite se lasser. Elle n'était pas assez attirante ? Elle avait une double motivation pour avoir commencé à aller à la salle de sport du coin : passer sa frustration et travailler son corps. Elle n'avait plus vraiment le temps de faire du volley en club une fois adulte, mais le sport en salle semblait l'aider à décompresser.
   
C'est même là que Salomé rencontra un jeune homme. Enfin, il avait à peu près le même âge qu'elle, plutôt agréable à regarder. Salomé n'était pas esseulée, heureusement que David n'était pas un control freak comme son père. D'ailleurs, au décès de ce dernier, d'une crise cardiaque, elle n'avait jamais vu sa mère aussi heureuse. Elle essayait de le cacher, mais Salomé savait. D'ailleurs, son frère était devenu joaillier comme son père. Et les Beaufort n'avaient pas entendu parler de l'aîné depuis son départ à sa majorité. En termes de relations amicales, Salomé avait ses collègues, mais aussi quelques camarades de classe du lycée, du BTS et du club de volley. Toutes étaient mariées, avec des enfants… Et Salomé songeait à faire un enfant. C'est ça qui faisait peur à David ?
   
Non. Le problème, ce n'était pas Salomé. Le problème, c'était la relation adultère qu'il avait avec sa secrétaire. Salomé pensait naïvement que son mari rentrait tard du boulot à cause de quelconque réunion. Salomé avait eu une piste en retrouvant une trace de rouge à lèvres sur l'une des chemises de son homme. D'abord perplexe, il fallut plusieurs jours à Salomé avant de le prendre sur le fait. La colère bouillonnait au fond d'elle, et alors qu'il continuait de prétendre qu'il était toujours retenu par son boulot, Salomé complota, alors qu'il ne savait que sa femme vaut découvert le poteau rose.
   
Dans un premier temps, Salomé proposa à son mari de prendre des vacances moins de la France, une croisière serait la meilleure chose ! Et ils auraient du temps pour eux, pour pouvoir avoir un enfant. Même s'il était refroidi par l'idée d'avoir un enfant, il accepta de poser des jours. La veille de leur départ, Salomé le met devant le fait accompli, sa relation avec la secrétaire. Peut-être qu'elle trouverait le moyen de lui pardonner, de lui donner une seconde chance. Elle lui demanda alors pourquoi. Sa seule réponse fut un haussement d'épaules, le regard désolée comme un enfant qu'on vient de prendre sur le fait. À cet instant, elle regretta tout. Elle regretta de ne pas s'être rebellée contre son père, de ne pas avoir embrassé cette fille à lunettes, de ne pas avoir fait ses propres choix de carrière… Salomé le frappa avec ce qu'elle avait sous la main. Un bibelot à la con. Il avait beau être un homme, elle était aussi grande que lui, si ce n'est aussi forte grâce à toutes ces heures en salle de musculation. Même si son cœur battait avec une force incroyable dans sa poitrine, le visage et les mains couverts de sang. Le crâne ouvert, l'homme qu'elle avait épousé gisait au sol, la cervelle sortant de son crâne. Salomé était rassurée : elle ne ressentait aucune excitation d'avoir tué cet homme. Aucune satisfaction non plus. De la tristesse ? Sans doute. Elle venait de le tuer, et même si elle avait préparé ça de manière méthodique, elle resta de longues secondes à observer le corps sans vie. Elle sortit de sa torpeur pour faire ce qu'elle avait à faire…
   
Il s'appelait Touji, l'homme qui faisait de la muscu avec elle. Avait-il des choses à fuir comme elle ? Alors que Salomé lui "expliqua" sa situation, qu'elle avait besoin de fuir un mari violent, il accepta sans demander plus de détails. Même si elle était bonne comédienne, Salomé supposa qu'il avait peut-être déjà connu ce genre de circonstances. Mais ce road trip lui permis de rencontrer d'autres personnes.
   
Salomé n'était pas enchantée par l'idée de se retrouver coincée dans une bagnole avec deux inconnus et une connaissance. Elle devait fuir la France rapidement, changer de pays et d'identité pour ne pas se faire attraper par le meurtre passionnel qu'elle avait commis. Dans sa valise, pas grand-chose, des vêtements et un peu, toute sa fortune. Elle avait deux semaines avant que quelqu'un ne se rende compte de l'absence du couple Noyer. D'ailleurs, quand elle se présenta à ses futurs amis, elle souffla son prénom.
   
Jezebel Salomé Mercury.
Ce road trip était une bonne occasion pour elle de se la couler douce, de se faire à sa future nouvelle identité. Le trio avait gobé son nouveau nom. S'en voulait-elle de leur avoir menti aussi ouvertement ? Pas le moins du monde. Après avoir passé la frontière, elle avait discrètement jeté son alliance par la fenêtre, détruisant ses anciens papiers sur une aire de repos avant de les noyer dans la cuvette des toilettes. Elle devait fêter ça avec ses nouveaux amis. Après avoir passé quelques jours avec eux sur la route, elle pouvait plus ou moins les considérer comme des connaissances amicales. Elle connaissait déjà Touji de la salle de gym. Elle faisait à présent la connaissance d’Aimie, une fille toujours souriante et prête à aider son prochain, et de Ymyr, un jeune homme malade mais déterminé.

Cependant, après une soirée un peu trop arrosée, ce fut le drame. Ou plutôt une magnifique opportunité, d’après Jezebel. Le quatuor en voiture percuta une femme à moto. Bien que choquée par le choc, la trentenaire descendit de la voiture pour aller voir l’accident. Avec une micro-réaction de dégoût, elle observa le corps de la personne. Elle respirait encore, mais… Est-ce que c’était vraiment une bonne idée de laisser Aimie essayer de la garder en vie ?! Ils étaient au milieu de nulle part, et avec un calme olympien et un visage de marbre, elle lança un regard à Touji, et fit un signe très reconnaissable : achève-la. Dans le choc de l’accident, une mallette avait valdingué, répandant un peu de son contenu sur le sol. Brillant et éclatant, des diamants, un collier qui devait valoir pas mal cher… Peut-être que les autres ne l'avaient pas vu au premier coup d'œil, mais Jezebel, oui. Son ticket pour une nouvelle vie était juste sous ses yeux. Hors de question de la laisser passer. Surtout qu’appeler les urgences, c’était rameuter les flics, et contrôle d’identité pour tout le monde. Jezebel ne savait pas encore si elle était recherchée ou non. Ils divisèrent les diamants en trois, cachèrent le corps et le collier six pieds sous terre. Pour se donner bonne conscience, chacun pensait garder les diamants pour qu’ils ne tombent pas entre de mauvaises mains, mais Jezebel avait déjà une idée toute trouvée.

Alors que le quatuor se sépara pour vivre sa vie, Jezebel s’inventa la sienne. Le road trip s’arrêta en Serbie, là où elle posa ses maigres bagages. Dans un premier temps, elle dut changer d’identité. Avec Crime.net, c’était “assez facile” de cacher son identité. Jezebel avait besoin de tout refaire. Où en était-on à présent ? Jezebel Salome Mercury, trente-cinq ans, américaine expatriée de justesse qui vivait en Serbie. En un an, elle dut apprendre une nouvelle langue et un nouvel alphabet. Heureusement qu’il existait pas mal d'applications pour apprendre une nouvelle langue et traduire en temps réel. Elle ne garda aucun contact avec Aimie, Ymyr ou même Touji, même si pendant ce road trip, ils s’étaient plus que rapprochés lui et elle. Elle avait un nouvel objectif : garder sa liberté, se faire de l’argent rapidement et facilement en lançant sa propre marque de maisons closes.




Dernière édition par Crime.net le Sam 1 Oct - 16:27, édité 2 fois
Crime.net
Crime.net

Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr
InventaireMarché NoirDelamain banaliséeDelamain de luxeDelamain blindéeDelamain spatialeDelamain nautiqueLieu de vieLieu de travailSkillbotAccréditationsOxfordRed MercyOuter HavenENVVidocqSkynetUmbrellaWeyland-YutaniRaptureCompétencesAssetsHauts FaitsA l'aube du crime - 01/09/21Trophées d'event



Dernière édition par Crime.net le Sam 16 Déc - 13:37, édité 13 fois
Jezebel S. Mercury
Jezebel S. Mercury
À l'aube du crime

Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 35 ans
Origine: Française
Orientation sexuelle: Pansexuelle
Nom de code: The Lewd One
Spécialité / Métier: Prostituée / Gérante d'une maison close
Compétences:
Accréditations:
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr/t98-dossier-jezebel-s-merc
Liste des RPsLégendeTimeline2030 wwwFaut que ça brille !Alexander IvanovwwwSmoke and mirrors [+18][R]Stephane DamassierwwwEn compagnie de la policeArnem GaugewwwShopping entre... copines !Talia KochwwwThat's gonna leave a mark. [+18]Touji Gashadokuro, Ynyr H. Bartlett & Alhéna MoriartywwwLet'em have it ! [+18]Touji GashadokurowwwQue le spectacle commence ~ [EVENT]Kagome Ueda & Jolyne TavareswwwRésolution [+18]Yorick Moriarty2031 wwwUne gaming room [EVENT]Zao Cheng & Maya KumariwwwEntretien royale [+18]Keloe MaiviawwwNouveaux parents [SPEED-DATING]Ashley Wilson2032 wwwDon't get pricked by the thorns of lieSanketa S. An-NarifawwwDiamants de SangWillard Knox


Dernière édition par Jezebel S. Mercury le Lun 26 Juin - 10:13, édité 22 fois
Jezebel S. Mercury
Jezebel S. Mercury
À l'aube du crime

Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 35 ans
Origine: Française
Orientation sexuelle: Pansexuelle
Nom de code: The Lewd One
Spécialité / Métier: Prostituée / Gérante d'une maison close
Compétences:
Accréditations:
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr/t98-dossier-jezebel-s-merc
RelationsTouji Gashadokuroprofil • amant • ami ?Lorem ipsum dolor, sit amet consectetur adipisicing, elit. Ullam eius, deserunt porro nulla itaque quas possimus quaerat soluta et, earum odit sunt doloribus veritatis odio provident alias rerum nemo incidunt!Aimie F. Erskineprofil • connaissanceLorem ipsum dolor, sit amet consectetur adipisicing, elit. Ullam eius, deserunt porro nulla itaque quas possimus quaerat soluta et, earum odit sunt doloribus veritatis odio provident alias rerum nemo incidunt!Ynyr H. Bartlettprofil • connaissanceLorem ipsum dolor, sit amet consectetur adipisicing, elit. Ullam eius, deserunt porro nulla itaque quas possimus quaerat soluta et, earum odit sunt doloribus veritatis odio provident alias rerum nemo incidunt!Keloe Maiviaprofil • employée • bébouLorem ipsum dolor, sit amet consectetur adipisicing, elit. Ullam eius, deserunt porro nulla itaque quas possimus quaerat soluta et, earum odit sunt doloribus veritatis odio provident alias rerum nemo incidunt!


Dernière édition par Jezebel S. Mercury le Dim 18 Déc - 19:19, édité 22 fois
Contenu sponsorisé