Akai Heikichi
Plaisir solitaire
Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 38
Origine: Japonaise
Orientation sexuelle: Pansexuelle
Nom de code: Renart
Spécialité / Métier: PDG de Heikichi Industries
Compétences: Eloquence Niv. 1 / Relations Niv. 1 / Estimation Niv. 1
Accréditations: Oxford
« Les Heikichi sont abrités d’un démon. »
Furent certainement les premiers mots qu’Akai comprit complètement. Du moins, elle se souvenait étrangement de ces termes exacts, qui lui étaient répétés, et répétés, à longueur de temps, tel un mantra. Les Heikichi étaient de sanguinaires monstres, ils avaient fait un pacte avec toutes sortes de démons, loin du folklore classique shintoïste, mais plutôt des forces du mal rencontrées en terres américaines. Les Heikichi étaient des vilains. Les Heikichi méritaient le déshonneur, l’exclusion de cette planète, et une déchéance violente, sans aucune discrimination. Les Heikichi étaient, irréfutablement, mauvais. Ces états de fait, Akai avait vite fait de les assimiler, les accueillir dans sa personnalité, ou plutôt sa Persona, qui était maintenant la seule dirigeante de ce corps dépravé.
Pour sûr, donc, Akai était, dans toutes les conventions imaginables, une très mauvaise personne. Terrible, malsaine, son mantra ne se résumait qu’à deux principes très simple, le premier étant que ce qu’elle voulait lui appartient. Le second était, sans doute ironiquement, moins compliqué à comprendre encore, lorsque l’on analysait son éducation, mais ce sentiment de supériorité qui exhumait de chaque pore de sa peau n’était pas une simple manie. Plutôt, là, Akai ressentait primairement qu’elle était bien plus jolie, intelligente, que l’humain moyen, et n’hésitait pas à le remarquer de son langage quasiment littéraire, comme si à chaque parole, la renarde contait une histoire à un enfant.
A cela, vous pouvez ajouter un très fort nationalisme, lié à ses origines japonaises. Bien que sa famille, originaire d’Okinawa a toujours été historiquement indépendantiste, la civilisation branlante et lancinante forçait Akai à accepter cet état de fait : le Japon était un splendide pays, qui, malgré les différentes crises humanitaires, et civiles ayant frappé le monde, restait toujours aussi beau, fort, élégant. Toujours à la pointe de la technologie, de la civilisation, et mieux, fière de ses racines patriotes, de ses actes durant la Seconde Guerre mondiale, et autres, elle ne peut qu’accepter sa patrie comme le leader de toutes les autres, parasitées, corrompues, par leur propre couardise. Son plus grand rêve est évidemment la création d’un empire japonais, à l’image de ce qu’elle prévoyait dans les années trente.
Cette image de pureté patriote, voire ethnique, Akai la cumulait sur sa propre personne ; elle était évidemment imbue d’elle-même, mais cela allait plus loin encore. La femme voyait son corps comme un temple ; pas qu’elle était une guerrière aux muscles saillants, bien à l’inverse même, mais son refus de boire de l’alcool, de fumer ou de consommer quelconque drogue était à l’image de cette vision d’elle-même, elle adoptait avec plaisir l’idée d’un esprit sain dans un corps sain. Donc amatrice de nourriture japonaise, de thé, et de cérémonie du thé, elle voyait toutes ces substances malsaines comme une pollution cérébrale. Cela, et, elle en connaissait les effets pervers… Elle n’hésitait pas à utiliser de ces produits illicites pour arriver à ses fins, cela était bien clair.
L’indécence, d’ailleurs, était un trait important de sa personnalité ; Akai se souciait évidemment des apparences, on pouvait s’en rendre compte en lui jetant un simple regard du coin de l’oeil, mais les normes sociales n’étaient pour elles que des chaînes contraignantes. Qui étaient ceux qui indiquaient qu’une femme de
De cette manière, il était clair qu’elle aimait se poser en tant que leader, qu’il s’agisse de missions, ou en tant que simple projet de groupe ; c’est avec cette ambition, d’ailleurs, qu’elle a réussi à atteindre le rang de PDG de sa propre compagnie, auparavant détenue en majorité par des actionnaires richissimes, certains même pas japonais. Et cette ambition, elle se traduit dans toutes ses activités, finalement, il semble que chez elle, tout est une compétition, jusqu’aux actes intimes. S’il y avait dans le monde des dominés et des dominants, alors elle serait de la caste de ceux qui dominent les dominants.
Bien évidemment, sa stature ne donnait pas l’impression d’une dominante carnivore, bien que l’animale dont elle a adopté les traits lui vont si bien qu’elle a accepté ce cadeau qu’elle considère comme un signe du Destin. Alors, autrement que par la force physique et les combats, Akai mettait en œuvre ses plans de vie à l’aide de la ruse, des mots et des pièges ; elle n’appuyait jamais sur la détente, par exemple, sauf lors de missions dédiées à cela, elle préférait ordonner ou manipuler les autres à le faire à a place, elle n’avait pas besoin non plus d’être plus grande que ceux qu’elle dominait, son aura suffisait à donner une impression de Mal incarné, et, surtout, elle ne comptait jamais s’adonner à de tels actes barbares qu’étaient la lutte, et autres sports de rustres animaux, la rhétorique et son Logos restaient suffisants pour empoigner ce qu’elle voulait, sans y mettre le prix.
L’excentricité était donc, d’ailleurs, un point important chez la japonaise qui appréciait plus que tout que les regards soient tournés vers elle ; et ses vêtements le prouvaient constamment. En réalité, même, Akai était une très grande fan de mode, ironiquement étrangère, et n’hésitait pas à le montrer de ses vêtements, qu’elle ne portait jamais plus de deux fois par ailleurs. Accessoires multiples, sangles à gogo, chapeaux colorés ou encore bodys légèrement osés, rien n’arrêtait ses lubies, pas même la bienséance ni la pudeur. Dès lors qu’elle posait les yeux sur un vêtement qui lui plaisait, elle devait le posséder, et le porter, quoiqu’il en coûtait.
Sa silhouette était donc un étrange spectacle, à n’en pas douter ; si Akai était fière de son corps, de chaque volume de graisse qu’elle arborait, pouvaient en témoigner sa tenue de mission particulière, elle n’avait pas exactement ce que l’on considérait une taille de top modèle… A vrai dire, elle portait même fièrement ses bourrelets, n’hésitait pas à envoyer chier quiconque voyait la féminine beauté comme un unique plateau, équipé de ventres plats, de dents bien rangées ou d’yeux en bonne santé.
Car il était vrai que lorsqu’on analysait finalement les traits du visage d’Akai, ses imperfections étaient bien plus claires… Ses yeux fins camouflaient par exemple des pupilles jaunâtres, dont la vision imparfaite étaient parfois protégées de lunettes de vues. Ses dents… Non, ses crocs montraient là le caractère sauvage de sa transformation, bien que ceux qui la connaissaient le savaient, sa dentition était déjà aussi chaotique avant que le virus Kemonomimi ne la frappe. Ses sourcils étaient broussailleuses, son nez discret, et ses lèvres, toujours maquillées pour camoufler leur finesse.
Heureusement, comme énoncé précédemment, peu s’attardaient sur les détails de son visage ; qui pourrait oser, après tout ? Car après sa queue et ses oreilles animales, c’étaient ses cheveux qui prenaient toute l’attention, chez Akai : toujours proprement coiffés, selon son humeur du jour, ils étaient longs, épais, bien que soyeux et lisses, naturellement. Elle n’hésitait pas à les couper sur un coup de tête cependant, bien qu’ils poussaient assez vite depuis que le virus l’avait atteinte…
Un détail que la renarde déteste, et fait tout pour camoufler, c’est que sa voix est naturellement aiguë. Alors se plongeant dans les exercices de dictions et les coachings douteux, elle a fini par modifier sa voix pour qu’elle paraisse plus grave, et ferme ; bien que sa voix naturelle ressort lorsque ses émotions prennent le dessus. Faites gaffes lorsque vous rendez Akai joyeuse, son cri de joie pourrait bien fissurer les verres à proximité.
Difficile, violente, capricieuse, et menteuse pathologique, l'éducation d'Akai aura été un véritable casse-tête pour les nourrices de la Maison Heikichi, tandis que son père, lui, à la tête du clan Yakuza florissant, en plus d'une compagnie civile qui se mondialisait toujours plus, préférait plutôt passer ses nuits dans les quartiers rouges d'Okinawa, à jouer, picoler, et profiter de prostituées. Etrange dichotomie, lorsque l'éducation de la future Spetsnaz se résumait à vénérer les hommes de sa famille, allant de son fondateur à l'ère Edo, jusqu'à son père qui était visiblement malade. Mais l'amour et l'admiration qu'elle avait pour lui ne changeait pas, et elle voyait toujours chez le Yakuza un modèle à suivre. Son rêve aura été, très tôt, de diriger cette compagnie, après tout.
Durant la nuit, alors... La japonaise s'était redressée, levée de son lit, même. Non pas à cause de la douleur, ni même de la peur. Elle avait seulement été réveillée par une entité... Divine créature toquant à sa porte. Loin d'être une exagération, Akai avait simplement laissé entrer dans son antre cette... Bête, qu'elle ne pouvait réellement décrire autrement que comme une divinité. Ses attributs le prouvaient, elle n'était pas dotée d'oreilles humaines, mais plutôt de multiples oreilles de canidés ; ses bras étaient couverts de poils, ses griffes semblaient acérées, ses dents prêtes à croquer la gamine toute crue. Mais le plus impressionnant, finalement, c'était sa taille... N'est-ce pas ? Certainement que si elle sautait, elle se cognerait contre le plafond...
– Hehe.
– Oh ? Quelle maxime amène donc ce rictus, jeune fille ? la créature répondait.
– Grande ! Tu es grande !
– Bien sûr. As-tu même la moindre idée de qui je suis ?
– Je sais ! Tu es le démon dont tout le monde parle ! Tu es venue me voler mon âme !
L'éloquence de cette jeune enfant de cinq ans impressionnerait certainement plus d'un ; mais il fallait se rendre compte d'une chose... Il ne s'agissait ici que des souvenirs d'une jeune fille délirante. Et pourtant, malgré le pragmatisme et le scepticisme d'Akai, elle chérissait ces souvenirs, et se les remémorait lorsque la situation le permettait. Elle avait alors apprit à connaître cet esprit, tout au long de cette première nuit. D'après ses dires, elle était effectivement un démon, venant apporter le bonheur et la réussite à leur famille. Elle était la raison pour laquelle tous les hommes Heikichi étaient frucueux. Maintenant, la question se posait, réellement... Si elle se présentait à elle de cette manière, est-ce que cela voulait dire qu'Akai était vouée à la réussite et à de grandes choses ? Certainement que oui. Du moins, ce fut la conclusion de la japonaise qui, depuis ce jour, suivit les directives de cette apparition, jusqu'au moindre détail.
« Est-ce qu'une enfant serait capable de faire ça ? » disait-on. « Son père ne lui donnait pas assez ? » décriait-on. « Cette enfant est possédée... » chuchotait-on. « Les Heikichi sont abrités d’un démon. » affirmait-on. Evidemment, les preuves étaient ce qu'elles étaient, et le patricide d'Akai n'aura pas été camouflé bien longtemps, malgré ses tentatives, si bien qu'elle fut promptement interrogée par différents professionnels de la santé mentale, tous affirmant avec effroi le même témoignage : la petite disait avoir été dirigée par un démon, qui la suivait depuis cinq ans maintenant partout où elle allait. Les connaissances de cette époque sur le sujet étant foncièrement maigres, et lacunaires, on ne lui prescrit que des calmants. Sans oublier que le crime commit par l'enfant avait été camouflé par les mafieux ; officiellement, un accident domestique avait eu raison du PDG de Heikichi Dai. Un événement qui entraînera le rachat de la compagnie par des investisseurs extérieurs à la famille, et apportera un clash interne monumental dans le clan Yakuza, au point que plusieurs guerres internes liées à la succession amènent à plusieurs décès dans la famille. Finalement, le nouveau Oyabun avait été nommé, il s'agissait d'un grand frère d'Akai, fils illégitime de Miyuki, qui reprenait les rennes du cerceau familial.
De là... N'importe quel témoignage des connaissances d'Akai confirmaient les mêmes anecdotes : l'héritière avait toujours été une personne radicale, fière et quelque peu malsaine, c'était simplement qu'ici... C'était comme si le bombardement avait réveillé quelque chose en elle, de puissant et d'effrayant, qui l'avait poussée à saboter toutes ses relations, amicales, amoureuse, familiales. Aussitôt qu'elle amassa assez d'argent pour se le permettre, Akai disparut des radars pour aller s'installer en Corée du Sud, pour des raisons qui semblaient mystérieuses... Plus personne n'entendra jamais parler d'elle, ni même sa proche famille, qui ne voyaient en sa disparition qu'un bénéfique coup de chance. De cette manière, elle ne pouvait réellement atteindre à la vie du patron actuel du clan Heikichi.
De son côté, en tout cas, ses plans étaient fixés pour les années à venir. Maintenant employée dans sa propre entreprise familiale, la japonaise s'était faite une place privilégiée dans celle-ci ; ses études en droit et en communication lui permirent les faveurs des plus hauts-placés de l'entreprise. A l'aube des assauts de la Corée du Nord, Akai s'était réservée une place importante dans la compagnie, au point qu'elle réussit à fournir en armes les soldats coréens sur place. Soldats coréens du nord, en particulier. Un acte qui aura certainement bénéficié l'armée envahissante, au point qu'ils emportèrent cette guerre, dans l'indifférence totale de l'ONU et des différents pays du Nord. En Corée Unie, donc, Akai devient une noble dame, s'attirant les faveurs des plus grands généraux de l'armée, ainsi que de ses politiciens les plus influents. En véritable femme fatale, elle réussit, encore une fois, à se hisser vers le haut du panier du pays, allant jusqu'à mettre les radars de sa famille au Japon vers elle. Ironiquement, incapables de voir en quoi ses actions les bénéficiait sur la longue, ils la déshéritèrent, en faisant sur le coup une Heikichi Déchue.
Du côté d'Akai, cette nouvelle aura, à l'extérieur, été qu'un simple événement déroulé de l'autre côté de la mer ; ses magouilles en Corée lui permirent une situation si stable et avantagée qu'elle ne pouvait être réellement touchée par cette catastrophe. De toute manière, elle était morte aux yeux des Heikichi et des Dokugumis, personne ne pouvait réellement penser à l'atteindre. Pourtant, elle montait en rang, dans la compagnie à son nom, si bien qu'elle en devint l'avocate principale. Au moment donc, où on lui annonça la nouvelle, les rumeurs disent qu'elle s'était complètement éteinte, ce jour-là, les yeux vides, discutant avec elle-même... Comme si elle concoctait un plan. Après cela, la vérité était évidente. Sa seconde personnalité, qu'elle désignait comme un démon qui la guidait, ne fit qu'une avec elle. Elle se mit alors à teindre ses cheveux en rose, son apparence et sa manière de parler avaient changé du tout au tout, et surtout, elle était devenue bien plus cruelle, sûre d'elle-même, et téméraire. Elle semblait avoir une idée derrière la tête... Qui ne lui était pas venue de nulle part, visiblement ; ses différentes apparitions aux dîners mondains et autres événements liées à ses activités dans la société la mirent sur la ligne de visée de Wallstreet, figure économique de New United et la raison de son développement financier conséquent. Elle semblait être en quête de partenaires en bourse qui permettraient une position favorable de l'Etat militaire dans le marché de la guerre... Et quelle surprise fut Akai, cette étoile montante au nom si familier. Les différentes rencontrent opportunes entre les deux femmes d'affaires devenaient alors des régulières croisades, amenant à des rendez-vous et dîners professionnels multiples. Jusqu'à ce qu'Akai ne déménage de Corée Unie pour aller s'installer à New United.
« Je veux simplement prouver au monde et à mon pays que j'y vaux ma place. »
C'était la réponse qu'elle donnait à tous ces médecins, psychologues, thérapeutes, qu'elle croisa au cours de ses différents examens médicaux. Un but qui pourrait sembler noble, beau, même, mais au vu de son passé, plutôt terrifiant... Heureusement pour Akai, néanmoins, Wallstreet, dans son extrême volonté (et surtout voyant le potentiel financier qu'elle représentait), se portait garante de la rescapée Heikichi, ainsi que de son recrutement parmi les Spetsnaz. De ce fait, une relation importante, de confiance même, régnait entre les deux femmes d'affaires, que la démone respectait d'ailleurs profondément... Certainement une des seules personnes qu'elle pouvait porter en estime de la sorte. Le mot d'ordre était clair, cependant... Au moindre dérapage en mission, son identité serait révélée au monde entier, et elle serait exécutée sur place publique, en guise d'exemple. De quoi mettre une laisse conséquente autour du cou de la Bête.
Un an seulement après la décimation quasi-totale de son clan donc, les Geysters japonais, et de toute l'Asie du sud-est, se voyaient très souvent arrêtés, exécutés par une Spetsnaz au pseudonyme particulier. On l'appelait Renart, et bien que les témoignages des heureux rescapés ne montraient pas réellement une apparence démoniaque comme Akai voulait le faire comprendre, ses artifices et sa ruse étaient suffisants pour effrayer les plus superstitieux. Certains parlaient d'un Youkai vengeur, d'autres d'une soldate coréenne en quête de nettoyage ethnique ; mais si les plus malins comprenaient que cette obsession de Renart pour les criminels asiatiques étaient liée aux Yakuzas, il était plus sage de sa part de le cacher aux yeux de tous. Malheureusement, sa quête de vengeance ne pouvait pas amener à grand chose de ce côté-là de la loi, les Dokugumis étaient bien trop malins, trop discrets pour justifier un massacre unilatéral de leur côté. Akai allait alors devoir être plus maligne, mais également plus... Téméraire.
Pour commencer, la patronne révéla au public un partenariat exclusif entre sa compagnie et New United : le groupe de justiciers masqués se verraient jouir d'armes derniers cris en avance, dans une lutte explicite contre la criminalité dans le monde. Toutefois, elle ne coupait pas l'arrivée de produits aux pays les plus controversés, évidemment. On accusait Akai et la société de financer les différentes guerres civiles au Moyen-Orient, en Afrique, de militariser les milices de multinationales, leur permettant une mainmise plus efficace sur les classes les plus pauvres, et surtout d'avoir fourni des armes à l'envahisseur coréen. Si les procès avaient menacé de mettre la compagnie en banqueroute, elle s'en sortait toujours d'artifices et de belles paroles chargées de menaces et de promesses d'un monde meilleur. Maintenant, seul le futur pouvait confirmer ou non que les plans d'Akai fonctionneraient...
Concernant sa vengeance sur les criminels japonais, elle adopta la tactique de l'opposition publique. Ses discours véhéments, sur le sol japonais, étaient tous contre l'existence des guerriers de l'ombre qui s'y étaient installés comme des garants du peuple. Akai, elle, attaquait l'existence des Dokugumis sans pour autant prononcer leur nom... Elle utilisait des épouvantails, allait même jusqu'à accuser les immigrés coréens, chinois, les emportant sans scrupule dans sa vendetta personnelle. Et maintenant, pensait-elle ? Elle savait que son statut lui permettait une certaine protection publique, qui empêcherait les assassins Yakuzas de l'attaquer sans raison. Elle n'avait plus qu'à les provoquer, jusqu'à ce que la machine n'explose, et mette à l'honneur la pourriture qui avait engrainé son si beau pays.
Dernière édition par Akai Heikichi le Sam 15 Oct - 1:34, édité 5 fois
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Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
Merci pour votre dossier d'inscription. Oh ? Il n'est pas tout à fait complet. Mais oh oh ! On est là pour vous aider ~
Demande du staff :
Règlement signé : Oui
La partie ID : RAS -
Le caractère : RAS
Le physique : RAS
L'histoire :
Merci pour ta fiche !
Nous avons besoin tout de même de quelques précisions et changement avant de la valider.
Pour commencer, concernant l'intégration d'Akai chez les Spetsnaz, avant leur arrivée ils ont bien sûr un suivi médical et surtout psychologique. Il y a aucune chance que les troubles d'Akai, même en parti résolues, ne soient pas remonté aux oreilles des recruteurs. Comme tu le sais on a déjà des personnages avec des troubles mentaux ou des handicaps chez les Spetsnaz, mais ils sont encadrés par un PNJ et on des ordres strictes de tenue.
En gros, on te demande de parler du recrutement et du suivit psy d'Akai chez les Spetsnaz et également trouvé une solution pour la tenir bien sage lors des missions. Si elle tue un civile, ne respecte pas les ordres ou est trop violente que ce qui est demandé, que ça soit clair, elle risque une exécution et la menace est très sérieuse ton personnage doit en avoir conscience.
Tu peux aussi utiliser un PNJ Spetsnaz comme garant à sa tenue. Comme Marie-Anne qui se fie à Glaz ou Scarlett à Molotov. Les deux PNJ engage leur réputation sur ces personnages, donc ils ne peuvent pas faire n'importe quoi. On te conseille d'utiliser WallStreat car c'est une femme d'affaire qui pourrait avoir repéré Akai pour son entreprise d'armes et donc avec leurs accords commerciaux elle se porte garante d'Akai sur les missions. Par contre attention, le staff punira le moindre écart.
Aussi second point, concernant les Dokugumis, il faut savoir que les Spetsnaz ne se mêlent pas de leurs histoires car ils sont discrets et très intégrés à la société japonaise. Sauf exception en casse ou en mission il y a peu de chance que les Spetsnaz se mêlent des affaires des Dokugumis. Donc la vendetta d'Akai sur son temps personnel et hors de son pseudonyme de Spetsnaz pourquoi pas, chez les Spetsnaz ça va pas mener à grand chose. Surtout que si elle exécute un Dokugumi alors que ce n'est pas demandé en mission, on revient au premier point.
Merci d'en dire plus à ce sujet.
Dernière précision. On trouve que ton personnage a une forte influence dans le lore, dans le sens où elle est riche, elle possède une grande entreprise, a aidé la Corée Unie dans sa guerre, fournit des armes aux Spetsnaz (pas toutes), etc... On accepte ton personnage car on te fait confiance et que c'est un deuxième compte, cependant le staff gardera un droit de regard sur ce que tu en fais pour que ça n'entre pas en contradiction avec du lore prévu.
Il se peut qu'on soit amené à te refuser certaines choses INRP pour ne pas entrer en contradiction avec de futurs évènements etc. Sans doute que ça sera rare voire inexistant, mais on préférait le préciser.
Si vous avez une question concernant les demandes de modifications, vous pouvez les poster à la suite de ce message, par MP ou sur
Discord dans le channel #questions.
Dès que vous avez terminé les modifications, vous pouvez poster à la suite de ce message pour le signaler.
À très vite ~
Akai Heikichi
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Vous pouvez poster une demande de RP > ICI <
Vous devez également recenser votre avatar sur Listing des avatars et votre anniversaire sur Listing des anniversaires.
Pour finir, dans votre profil, vous devez maintenant générer votre fiche de personnage et la remplir. Affiliation est à laisser vide, pour avoir une Affiliation il faut acheter une accréditation pour une faction. Pensez à mettre votre Dossier qui sera posté dans peu de temps dans Identity Crisis dans votre profil.
Amusez-vous bien ! ~