Touji Gashadokuro
À l'aube du crime
Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 28ans
Origine: Franco-Japonais
Orientation sexuelle: Pansexuel
Nom de code: Bad Dog
Spécialité / Métier: Sans emploi/Bodyguard
Compétences: Infiltration lv.1 /// Violence lv.1
Accréditations: Vidocq
Touji Gashadokuro
ID Card
- Âge : 28ans
- Sexe : ♂
- Origine : Franco-Japonais
- Orientation sexuelle : Pansexuel
- Métier : Sans emploi fixe, mais a une formation en Sécurité Privée.
Bad Dog
En ligne
- Groupe : GEYSTER
- Alignement : Le Destructeur
- Objectifs : Se faire toujours plus d'argent
Caractère
''Sois un frère, sérieux.''
Défragmenter la personnalité de Touji serait une erreur, ne promettant qu'un chaos de défauts dans lequel quelques pépites de qualité s'égarent. Au naturel, on sent déjà cette attitude nonchalante et désintéressée de l'univers qui l'entoure. Dans son regard souvent fatigué, on pourrait croire que rien n'a d'intérêt pour lui, jusqu'à ce qu'apparaisse ce rictus sournois au coin de ses lèvres. Là, on peut sentir toute cette malice, toute cette perfidie qui montre qu'il ne présage rien de bon.
Définir la cupidité est quelque chose d'assez complexe, dans le monde que nous connaissons. Mais lorsque l'on parle de Touji, la chose devient d'une simplicité manichéenne. Si quelque chose peut-être monnayé, si la moindre valeur en ressort, et si il a la moindre chance de pouvoir s'en emparer sans être prit, il tentera de s'en emparer. L'argent a toujours été plus qu'un moyen, pour lui : c'est un carburant. Un carburant à user dans l'excès, afin de garder un moteur en route et de voir du pays.
Ces métaphores maladroites sont là juste pour bien appuyer sur une chose : Touji est cupide, et n'a pas peur de prendre des risques si cela peut l'enrichir. Antipathique au possible avec le reste de la race humaine, sans pour autant être misanthrope, la vie humaine a pour lui bien moins de valeur qu'une liasse de billets. Après, selon le travail... la liasse doit être plus ou moins épaisse. Rien ne motive plus cet homme que l'argent. Et ce, jusqu'à ce que se révèle l'autre détail de sa personne : son incroyable esprit de famille.
Les amis, c'est la famille qu'on se choisit. Un adage tout particulier auquel le grand gaillard donne tout son sens. Les personnes importantes dans sa vie se comptent sur les doigts d'une main, mais chacune d'entre elle occupe une place très importante dans sa vie. Prêt à abandonner tout ce qu'il fait pour s'assurer qu'ils soient en bonne santé, Touji investit des trésors d'énergie dans le bien-être des personnes qu'il aime. Et même s'il est souvent l'instigateur ou la cause de leurs tourments, il sait être présent que les temps sont vraiment durs. Il est capable de quitter son travail à la seconde près pour aller à l'hôpital, avec des chocolats, un livre et de quoi papoter. Il peut passer la nuit au chevet d'une personne chère, pour repartir assurer sa journée de travail malgré l'absence de sommeil. Ses proches, c'est tout pour lui. Ces gens là sont rares, si rares que les préserver sonne pour lui comme une évidence !
En dehors de cela, on pourrait parler de comportement épicurien. Profitant de chaque seconde, chaque instant, tout excès lui étant mit à disposition sera certainement consommé. Incapable de se priver, il vit avec une philosophie qui le laisse penser qu'à tout instant, il peut passer l'arme à gauche. De quoi le rendre aussi détaché des autres qu'il est irresponsable. Mais pour autant, on le trouvera attachant, si on parvient à se loger confortablement dans l'une des failles de son armure de sarcasme.
En dehors de cette sphère d'intimité très privée que son ses amitiés, Touji est un professionnel d'une rare cruauté. Implacable et animé par une volonté de fer, il sait se concentrer sur un objectif afin d'obtenir les meilleurs résultats, et les meilleurs primes. Sans réelle considération pour qui que ce soit, il serait capable de trancher chaque doigts d'un parfait inconnu si cela lui garantissait l'ouverture d'une porte. Parler de sociopathie serait pourtant incorrect, dû à cet amour profond qu'il porte pour les personnes ayant trouvé cette place dans son cœur rongé par le vice !
Sournois, sans considération pour les conséquences de ses actes, il n'en est pas un abruti pour autant. Mentir relevant de la corvée, il est convaincu que la violence est la solution universelle aux problèmes que l'argent ne résout pas. Dans sa vie amoureuse, on constate une série d'échecs plus spectaculaires les uns que les autres, ayant sûrement orienté ce grand gaillard vers une solitude dans laquelle il se complaît plutôt bien. Au besoin, il sait comment amener un peu de compagnie dans ses draps, ou comment y être invité. Mais toutes ces choses sont les plaisirs éphémères qui rythment une existence où seule une chose compte : l'argent.
Défragmenter la personnalité de Touji serait une erreur, ne promettant qu'un chaos de défauts dans lequel quelques pépites de qualité s'égarent. Au naturel, on sent déjà cette attitude nonchalante et désintéressée de l'univers qui l'entoure. Dans son regard souvent fatigué, on pourrait croire que rien n'a d'intérêt pour lui, jusqu'à ce qu'apparaisse ce rictus sournois au coin de ses lèvres. Là, on peut sentir toute cette malice, toute cette perfidie qui montre qu'il ne présage rien de bon.
Définir la cupidité est quelque chose d'assez complexe, dans le monde que nous connaissons. Mais lorsque l'on parle de Touji, la chose devient d'une simplicité manichéenne. Si quelque chose peut-être monnayé, si la moindre valeur en ressort, et si il a la moindre chance de pouvoir s'en emparer sans être prit, il tentera de s'en emparer. L'argent a toujours été plus qu'un moyen, pour lui : c'est un carburant. Un carburant à user dans l'excès, afin de garder un moteur en route et de voir du pays.
Ces métaphores maladroites sont là juste pour bien appuyer sur une chose : Touji est cupide, et n'a pas peur de prendre des risques si cela peut l'enrichir. Antipathique au possible avec le reste de la race humaine, sans pour autant être misanthrope, la vie humaine a pour lui bien moins de valeur qu'une liasse de billets. Après, selon le travail... la liasse doit être plus ou moins épaisse. Rien ne motive plus cet homme que l'argent. Et ce, jusqu'à ce que se révèle l'autre détail de sa personne : son incroyable esprit de famille.
Les amis, c'est la famille qu'on se choisit. Un adage tout particulier auquel le grand gaillard donne tout son sens. Les personnes importantes dans sa vie se comptent sur les doigts d'une main, mais chacune d'entre elle occupe une place très importante dans sa vie. Prêt à abandonner tout ce qu'il fait pour s'assurer qu'ils soient en bonne santé, Touji investit des trésors d'énergie dans le bien-être des personnes qu'il aime. Et même s'il est souvent l'instigateur ou la cause de leurs tourments, il sait être présent que les temps sont vraiment durs. Il est capable de quitter son travail à la seconde près pour aller à l'hôpital, avec des chocolats, un livre et de quoi papoter. Il peut passer la nuit au chevet d'une personne chère, pour repartir assurer sa journée de travail malgré l'absence de sommeil. Ses proches, c'est tout pour lui. Ces gens là sont rares, si rares que les préserver sonne pour lui comme une évidence !
En dehors de cela, on pourrait parler de comportement épicurien. Profitant de chaque seconde, chaque instant, tout excès lui étant mit à disposition sera certainement consommé. Incapable de se priver, il vit avec une philosophie qui le laisse penser qu'à tout instant, il peut passer l'arme à gauche. De quoi le rendre aussi détaché des autres qu'il est irresponsable. Mais pour autant, on le trouvera attachant, si on parvient à se loger confortablement dans l'une des failles de son armure de sarcasme.
En dehors de cette sphère d'intimité très privée que son ses amitiés, Touji est un professionnel d'une rare cruauté. Implacable et animé par une volonté de fer, il sait se concentrer sur un objectif afin d'obtenir les meilleurs résultats, et les meilleurs primes. Sans réelle considération pour qui que ce soit, il serait capable de trancher chaque doigts d'un parfait inconnu si cela lui garantissait l'ouverture d'une porte. Parler de sociopathie serait pourtant incorrect, dû à cet amour profond qu'il porte pour les personnes ayant trouvé cette place dans son cœur rongé par le vice !
Sournois, sans considération pour les conséquences de ses actes, il n'en est pas un abruti pour autant. Mentir relevant de la corvée, il est convaincu que la violence est la solution universelle aux problèmes que l'argent ne résout pas. Dans sa vie amoureuse, on constate une série d'échecs plus spectaculaires les uns que les autres, ayant sûrement orienté ce grand gaillard vers une solitude dans laquelle il se complaît plutôt bien. Au besoin, il sait comment amener un peu de compagnie dans ses draps, ou comment y être invité. Mais toutes ces choses sont les plaisirs éphémères qui rythment une existence où seule une chose compte : l'argent.
Physique
''Dis pas n'imp : la violence c'est LA solution.''
Touji est difficile à manquer. Du haut de son mètres quatre-vingt-deux, il surplombe la plupart des gens quand il n'est pas courbé un rien en avant, comme si il portait sur le dos le poids d'une réflexion insondable. On peut lire les traits de ses muscles à travers ses vêtements, montrant là un physique sportif, travaillé au rudiment des coups. Un corps en bois brut, sculpté de la plus primaire des façons : à la violence. Les détails de ses mains usées montrent une vie de travail manuel. On peut voir quelques marques, sûrement dues à des blessures de travail plus ou moins anodines. Le reste de son corps est jonché de cicatrices diverses et variées, preuves d'histoires ne valant pas la peine d'être racontées pour la plupart.
Sur cette peau légèrement mate, héritée de son père, on ne lit aucun tatouage, sauf un au niveau de sa cheville gauche. Trois symboles, assez étranges, ressemblant à des kanji, dont la signification reste un mystère pour tous ceux à qui il n'a pas raconté la signification. Ou ceux qui n'ont pas la capacité de lire ces signes. Son autre signe distinctif est une cicatrice, sur la bouche. Proche de la commissure droite de ses lèvres se trouve une fente, qui semble parfois éveiller des tocs chez le grand brun. Comme si par instant, la douleur ou une sensation d'étirement déplaisant se faisait sentir à ce niveau.
Ses cheveux d'un noir de jais sont coupés mi-longs, à l'arrière du moins. Les mèches rebelles et chaotiques lui tombent sur le visage de manière générale, comme une sorte de rideau déchiré camouflant les fenêtres que sont ses yeux. Un regard froid, cendré, que l'on retrouverait chez certaines prédateurs des fonds marins. Son visage fin malgré son physique de rustre en fait un être charmant, charmeur même, quand il dévoile ce joli sourire dentelé de crocs. D'un pointu naturel presque inquiétant~ ! Prenez le tout, et vous avez là un joli lot de muscles, d'agilité, et de vigueur. Car si il y a bien une chose dont ne manque pas Touji, c'est de ressources~!
Touji est difficile à manquer. Du haut de son mètres quatre-vingt-deux, il surplombe la plupart des gens quand il n'est pas courbé un rien en avant, comme si il portait sur le dos le poids d'une réflexion insondable. On peut lire les traits de ses muscles à travers ses vêtements, montrant là un physique sportif, travaillé au rudiment des coups. Un corps en bois brut, sculpté de la plus primaire des façons : à la violence. Les détails de ses mains usées montrent une vie de travail manuel. On peut voir quelques marques, sûrement dues à des blessures de travail plus ou moins anodines. Le reste de son corps est jonché de cicatrices diverses et variées, preuves d'histoires ne valant pas la peine d'être racontées pour la plupart.
Sur cette peau légèrement mate, héritée de son père, on ne lit aucun tatouage, sauf un au niveau de sa cheville gauche. Trois symboles, assez étranges, ressemblant à des kanji, dont la signification reste un mystère pour tous ceux à qui il n'a pas raconté la signification. Ou ceux qui n'ont pas la capacité de lire ces signes. Son autre signe distinctif est une cicatrice, sur la bouche. Proche de la commissure droite de ses lèvres se trouve une fente, qui semble parfois éveiller des tocs chez le grand brun. Comme si par instant, la douleur ou une sensation d'étirement déplaisant se faisait sentir à ce niveau.
Ses cheveux d'un noir de jais sont coupés mi-longs, à l'arrière du moins. Les mèches rebelles et chaotiques lui tombent sur le visage de manière générale, comme une sorte de rideau déchiré camouflant les fenêtres que sont ses yeux. Un regard froid, cendré, que l'on retrouverait chez certaines prédateurs des fonds marins. Son visage fin malgré son physique de rustre en fait un être charmant, charmeur même, quand il dévoile ce joli sourire dentelé de crocs. D'un pointu naturel presque inquiétant~ ! Prenez le tout, et vous avez là un joli lot de muscles, d'agilité, et de vigueur. Car si il y a bien une chose dont ne manque pas Touji, c'est de ressources~!
Histoire
''Il faut pas grand chose, pour un foyer.''
Pour le construire, en tout cas. Les traditions japonaises n'ont jamais été un plaisir à perpétrer ou subir. D'après les parents de Touji, tout du moins. Issu d'une famille noble, possédant un temple dont l'entretien tant des lieux que de la foi était primordial, la mère de l'enfant à venir décida de quitter le morne pays qu'était le Japon pour aller aux USA. Son amant, un français vivant au Japon depuis maintenant plusieurs années, décida de s'enfuir avec elle. Leur histoire ressemble aux idylles de ces romances interdites, pleines d'espoir et de passion. Une passion qui les fit s'envoler jusqu'au pays du dollar : les USA !
Heureux et insouciants, ces jeunes pleins d'amour profitèrent d'un pays fascinant et plaisant, plein de gaieté. Radieux comme tout, ils décidèrent un jour de se marier, de profiter de ce mode de vie, loin de leur héritage. Et un soir d'automne, alors qu'ils parlaient de combien ils seraient heureux de faire un enfant... arrivèrent les événements tragiques du 11 Septembre. Ne se sentant plus en sécurité dans ce pays, ils réunirent leurs dernières économies pour partir dans un endroit qui leur paru plus sûr : l'Écosse.
Là bas, un enfant vit le jour. Un jeune être innocent et adorable qui devint le démon connu aujourd'hui sous le nom de Touji.
''Il faut pas grand chose, pour un foyer.''
Pour le détruire, en tout cas. Changer d'environnement, de situation, suffit à faire du couple idyllique un véritable cauchemar. Entre une mère au foyer, déprimée d'une vie de ménagère sans passion et un père si absent qu'il faisait presque part intégrante du bar qu'il fréquentait... Touji grandit dans un silence presque morbide. Malgré que sa mère veuille l'emmener voir un psychologue, le père refusa toujours d'aller voir l'un de ces charlatans. Son fils, il devait être comme lui. Un débrouillard, qui peut s'adapter au milieu. Et sans un mot, Touji avançait dans la vie. On le cru muet, pendant un temps, jusqu'à ce que l'école commence à éveiller en lui cet esprit de joie, de camaraderie. Un bonheur qui était fluctuant, selon les disputes. Voyez, quand on ne voit aucun problème à jeter son crâne dans le nez d'un camarade de classe pour qu'il, citons le, 'Oublie pas sa place', c'est qu'il y a un sérieux soucis.
Les disputes entre ses parents se multipliaient, et sa seule véritable relation familiale devint sa mère, qui faisait tout pour prendre soin de lui. Des heures avec le psychologue scolaire, au moindre repas et aux sourires tendres. Toute la charge mentale de la famille était léguée à sa mère, son père incapable de faire quoi que ce soit, si ce n'est boire, se plaindre, partir. Et avec les années qui passaient, Touji eut bien peu de choses pour ne pas devenir complétement fou. Du moins, c'est ce que pensait son psy... Pas un mot. Silencieux. Il ne parlait que très peu avec sa mère, et une fille de sa classe !... Mais rien de plus, malgré les longues années de travail. Et vers ses 20 ans, il y eut cette terrible soirée.
''Il pleuvait tellement...''
C'était à un arrêt de bus, il était terriblement tard. Touji était debout sous une pluie diluvienne, à réfléchir à ce qu'il pourrait faire. Les écoles ne se battaient pas pour l'avoir, il avait déjà plein de méfaits au compteur sans jamais s'être fait pincé... Mais cela n'aidait pas à la maison. Sa mère, en plus d'être si triste, avait maintenant des marques de la couleur du ciel sur tout le corps. La pauvre subissait le courroux de son mari depuis le jour où elle l'avait assommé malencontreusement, quand ce dernier avait menacé son fils de le tuer si il tentait de fuguer à nouveau. Une altercation lui ayant valu une cicatrice sur la bouche, dû à un couteau appuyer bien trop fort sur le visage.
Pourtant, son père semblait la blâmer elle, quant aux maux de leur enfant, comme si tout était de sa faute ! Mais les aides du pays pour un enfant permettaient au père de se prendre des rincées aberrantes tous les jours, alors autant le ramener à la maison.
Touji connaissait bien cet arrêt. Le nombre de fois où, enfant, il avait vu sa mère y supplier son père de ne pas partir, s'excuser pour des fautes qui n'existaient pas... Tout juste arrivé, le voilà qui empoignait son fils avec une verve furieuse, bien que sa voix perce à peine les torrents d'eaux qui s'abattaient sur eux. Après cette débauche d'insultes quant à son fils, le père sentit les mains de son garçon contre ses bras. Et pour la première fois, depuis presque quinze longues années, il entendit parler son fils.
« Je sais. Je sais que ça va pas, eh. Aujourd'hui, on peut apparemment raser un pays sans conséquences p'pa. Alors... je peux comprendre que tu flippes. Mais t'as juste pas le bon état d'esprit : faut juste savoir que tout est insignifiant. »
La seconde d'après, il sentit l'alcool lui donner l'impression de chavirer. Cette sensation de vertige et de perte d'équilibre... qu'il comprit trop tard. Rien de tout cela n'était dû à l'alcool. Son propre fils avait rangé une main dans ses poches et, de l'autre... l'avait gentiment poussé sur la route. Et ce fut sans un cri, sans une larme, que partit le père d'un garçon qui n'eut pour sa mère que quelque mots, pour justifier ce parricide jamais avoué.
« Il pleuvait tellement... aucune idée de ce qu'il a foutu ce con. »
''N’ai pas le seum ! Fais moi la bise~''
Dans sa vie, Touji reprit le sourire après l'enterrement de son père. Enfin, pendant, pour tout dire, ce qui rendit sa présence dérangeante jusqu'à ce qu'il réussisse à s'en défaire. Profitant de la vie qui lui était offerte en enchaînant les boulots et les méfaits, il avait passé un bon bout de sa vie à gérer des boulots de nuit, afin de pouvoir intervenir sur de vols et autres entourloupes lui permettant de se faire un peu d'argent rapidement. Toute sa vie tournait autour de ces larcins, de combats clandestins et autres idioties du genre... Et sur un événement. Un agissement où il avait choppé une mallette qui lui avait paru rudement précieuse, prise à un type qui avait demandé plus d'efforts que d'habitude pour finir allongé. Quel que soit le contenu de la mallette, il s'en était fait une très, très jolie somme !... Et en rentrant chez lui, alors que sa mère était au club de lecture locale, il sentit une poigne sur son épaule.
Ce qui lui sembla une minute plus tard, il était dans une chaise, le visage en sang, le crâne lourd. Il lui fallu un bon moment pour réaliser que les deux malabars en costume étaient les propriétaires de la mallette. Et au final, il y eut ce dernier échange, tandis qu'ils l’interrogeaient.
« Où est Neptune, gamin ?
-Oh les planètes, je connais ça ! Après nous c'est Mars, Jupiter, ta reum et- »
Une plaisanterie de mauvais goût, qui lui valu quelques secondes d'évanouissement. Le gros balèze ne rigolait pas, avec ses coups. En discutant, les deux réalisèrent que Touji ne comptait pas parler, et qu'il n'avait certainement plus la mallette. Un cadavre étant toujours une plaie à gérer, ils préférèrent le laisser en vie. De toute façon, avec les deux arcades fendues, c'était pas avec tout ce sang dans les yeux qu'il pourrait faire un portrait robot. Et puis, comme si un loubard allait appeler les flics ! Non... à la place, il se fit soigner par cette amie de toujours. Son... 'Aimie de toujours', en somme. Avec l'argent de la mallette, une idée lui vint : se retirer, quelques temps, ailleurs, pour faire moins de vagues ! Et pourquoi pas... en France~ ?
''La tête de ouam, c'est une putain d'idée !''
Tels furent ses propos. Filant en France en donnant un lieu de rendez-vous à son amie, il lui donna aussi une date ! Il dû prétexter une connerie, pour partir bien en avance. Assez pour pouvoir se trouver un logement miteux où squatter, et de quoi aller régulièrement à la salle de sport. Ce road-trip, c'était une excuse pour ramener sa pote de toujours en France, et se vider la tête tout en restant à l'abri d'éventuelles représailles pour sa connerie. La jolie somme suffirait pour cela ! Dans l'attente de sa pote, il avait décidé de se mettre à nouveau au sport. Très sérieusement.
Après des jours à fréquenter l'endroit, il fit petit à petit connaissance avec une charmante femme. Une française, qu'il avait d'abord repéré pour ses courbes, puis pour sa sympathie, et ses sujets de discussion. Fasciné comme tout, il se lia d'une excellente amitié avec elle. Une amitié qui devint plus solide encore le jour où elle lui avoua qu'elle voulait quitter son mari, avec qui tout se passait mal. Comprenant parfaitement ce genre de situations, il l'invita alors à rejoindre ce formidable road trip, qui fut composé de quatre personnes au caractères si différents que les imaginer dans un véhicule, ensemble, relevait du miracle.
Et pourtant, leur amitié allait trouver un nœud solide, scellé dans la roche du secret.
''… On en a pour pas mal, je pense.''
Il s'était passé quoi ? Le superbe road trip était censé faire passé au groupe un super moment, enchaîner des soirées alcoolisées plus folles les unes que les autres, voir du pays... Mais ce fameux soir, il vira au cauchemar. Sur leur route, une femme en moto venait de les percuter, s'envolant avec une force assez puissante pour que ses os percent la cage de ses muscles et de sa peau.
Touji se souvient encore du corps de la jeune femme, au souffle étouffé par la douleur, au buste qui se soulève péniblement avec ces côtes tentant de fuir à chauqe bouffée d'air... Mais il se souvient surtou du moment où il parvint à faire arrêter les soins à son amie aux cheveux roses, pour l'inviter avec son invité du road trip à voir dans la moto si il y avait la moindre info sur elle. Un temps de battement qui permit à Touji de, discrètement, serrer sa main sur le cou de l'inconnue... Et abréger ses souffrances. Cruel ? Non, elle souffrait la pauvre. Et puis, un corps en vie c'est un appel assuré aux autorités, ou aux urgences du coin de la part de Aimie. Mais un cadavre en revanche...
Dans la moto de la jeune femme, des papiers furent trouver. Mais surtout des diamants. Des diamants magnifiques, bruts, à la valeur absolument terrible. Et à côté de ça, il y avait un collier divin. Certainement reconnaissables, dans les pays de l'Est. Alors... Le plan fut simple : Touji proposa d'enterrer le corps de la femme, et le collier. Mais les diamants, en revanche, pourraient servir à des personnes mal intentionnés si ils étaient trouvés ! Du coup...
''J'les vois plus dans l'rétro ! C'est sur la concu' que je fais mes créneaux !''
Le retour en France fut très, très compliqué. Outre le fait que plus d'une fois, Touji s'était fait repéré par Aimie en pleine... activité avec son invitée du Road Trip, le poids de la situation avait de quoi faire vriller une personne normale. Mais soyons honnête : Touji ne ressentait rien d'autre que de l'impatience. Avec son argent ? Il se paya une arme. Une très bonne arme même ! Militaire, semi-automatique, production française. Avec ça, il se fit le luxe de prendre un peu d'équipement, afin de pouvoir reprendre le parcours. Et avec le reste... il permit à sa mère de vivre dans une villa communautaire dans un village de France, où elle profite de la 'pension décès' de son mari pour participer à la communauté, en plus d'aider aux jardins, ailleurs... Elle est heureuse, et semble bien contente de voir tant de vie dans les yeux de son fils.
Un fils qui n'eut plus jamais besoin de travailler avec des bas de plafond. Depuis peu, il avait été contacté par Crime.net. Un certain Seth l'avait démarché, et lui avait envoyé un masque avec une petite tâche simple à effectuée. Un vol. Fait dans la discrétion la plus totale, Touji eut droit à son accès grâce à cela... et agit maintenant pour les Geysters !
Depuis longtemps, il n'hésite pas à tuer, à agir en dehors des cadres posés par la loi, afin de pouvoir vivre correctement. Maintenant qu'il est devenu bon dans le crime, c'est l'heure de faire du profit ! Ne sachant encore où vivre, il erre par endroit à la recherche de son prochain salaire. Et dans son sourire en coin, plein de malice, on sent qu'il ne présage rien de bon...
Pour le construire, en tout cas. Les traditions japonaises n'ont jamais été un plaisir à perpétrer ou subir. D'après les parents de Touji, tout du moins. Issu d'une famille noble, possédant un temple dont l'entretien tant des lieux que de la foi était primordial, la mère de l'enfant à venir décida de quitter le morne pays qu'était le Japon pour aller aux USA. Son amant, un français vivant au Japon depuis maintenant plusieurs années, décida de s'enfuir avec elle. Leur histoire ressemble aux idylles de ces romances interdites, pleines d'espoir et de passion. Une passion qui les fit s'envoler jusqu'au pays du dollar : les USA !
Heureux et insouciants, ces jeunes pleins d'amour profitèrent d'un pays fascinant et plaisant, plein de gaieté. Radieux comme tout, ils décidèrent un jour de se marier, de profiter de ce mode de vie, loin de leur héritage. Et un soir d'automne, alors qu'ils parlaient de combien ils seraient heureux de faire un enfant... arrivèrent les événements tragiques du 11 Septembre. Ne se sentant plus en sécurité dans ce pays, ils réunirent leurs dernières économies pour partir dans un endroit qui leur paru plus sûr : l'Écosse.
Là bas, un enfant vit le jour. Un jeune être innocent et adorable qui devint le démon connu aujourd'hui sous le nom de Touji.
''Il faut pas grand chose, pour un foyer.''
Pour le détruire, en tout cas. Changer d'environnement, de situation, suffit à faire du couple idyllique un véritable cauchemar. Entre une mère au foyer, déprimée d'une vie de ménagère sans passion et un père si absent qu'il faisait presque part intégrante du bar qu'il fréquentait... Touji grandit dans un silence presque morbide. Malgré que sa mère veuille l'emmener voir un psychologue, le père refusa toujours d'aller voir l'un de ces charlatans. Son fils, il devait être comme lui. Un débrouillard, qui peut s'adapter au milieu. Et sans un mot, Touji avançait dans la vie. On le cru muet, pendant un temps, jusqu'à ce que l'école commence à éveiller en lui cet esprit de joie, de camaraderie. Un bonheur qui était fluctuant, selon les disputes. Voyez, quand on ne voit aucun problème à jeter son crâne dans le nez d'un camarade de classe pour qu'il, citons le, 'Oublie pas sa place', c'est qu'il y a un sérieux soucis.
Les disputes entre ses parents se multipliaient, et sa seule véritable relation familiale devint sa mère, qui faisait tout pour prendre soin de lui. Des heures avec le psychologue scolaire, au moindre repas et aux sourires tendres. Toute la charge mentale de la famille était léguée à sa mère, son père incapable de faire quoi que ce soit, si ce n'est boire, se plaindre, partir. Et avec les années qui passaient, Touji eut bien peu de choses pour ne pas devenir complétement fou. Du moins, c'est ce que pensait son psy... Pas un mot. Silencieux. Il ne parlait que très peu avec sa mère, et une fille de sa classe !... Mais rien de plus, malgré les longues années de travail. Et vers ses 20 ans, il y eut cette terrible soirée.
''Il pleuvait tellement...''
C'était à un arrêt de bus, il était terriblement tard. Touji était debout sous une pluie diluvienne, à réfléchir à ce qu'il pourrait faire. Les écoles ne se battaient pas pour l'avoir, il avait déjà plein de méfaits au compteur sans jamais s'être fait pincé... Mais cela n'aidait pas à la maison. Sa mère, en plus d'être si triste, avait maintenant des marques de la couleur du ciel sur tout le corps. La pauvre subissait le courroux de son mari depuis le jour où elle l'avait assommé malencontreusement, quand ce dernier avait menacé son fils de le tuer si il tentait de fuguer à nouveau. Une altercation lui ayant valu une cicatrice sur la bouche, dû à un couteau appuyer bien trop fort sur le visage.
Pourtant, son père semblait la blâmer elle, quant aux maux de leur enfant, comme si tout était de sa faute ! Mais les aides du pays pour un enfant permettaient au père de se prendre des rincées aberrantes tous les jours, alors autant le ramener à la maison.
Touji connaissait bien cet arrêt. Le nombre de fois où, enfant, il avait vu sa mère y supplier son père de ne pas partir, s'excuser pour des fautes qui n'existaient pas... Tout juste arrivé, le voilà qui empoignait son fils avec une verve furieuse, bien que sa voix perce à peine les torrents d'eaux qui s'abattaient sur eux. Après cette débauche d'insultes quant à son fils, le père sentit les mains de son garçon contre ses bras. Et pour la première fois, depuis presque quinze longues années, il entendit parler son fils.
« Je sais. Je sais que ça va pas, eh. Aujourd'hui, on peut apparemment raser un pays sans conséquences p'pa. Alors... je peux comprendre que tu flippes. Mais t'as juste pas le bon état d'esprit : faut juste savoir que tout est insignifiant. »
La seconde d'après, il sentit l'alcool lui donner l'impression de chavirer. Cette sensation de vertige et de perte d'équilibre... qu'il comprit trop tard. Rien de tout cela n'était dû à l'alcool. Son propre fils avait rangé une main dans ses poches et, de l'autre... l'avait gentiment poussé sur la route. Et ce fut sans un cri, sans une larme, que partit le père d'un garçon qui n'eut pour sa mère que quelque mots, pour justifier ce parricide jamais avoué.
« Il pleuvait tellement... aucune idée de ce qu'il a foutu ce con. »
''N’ai pas le seum ! Fais moi la bise~''
Dans sa vie, Touji reprit le sourire après l'enterrement de son père. Enfin, pendant, pour tout dire, ce qui rendit sa présence dérangeante jusqu'à ce qu'il réussisse à s'en défaire. Profitant de la vie qui lui était offerte en enchaînant les boulots et les méfaits, il avait passé un bon bout de sa vie à gérer des boulots de nuit, afin de pouvoir intervenir sur de vols et autres entourloupes lui permettant de se faire un peu d'argent rapidement. Toute sa vie tournait autour de ces larcins, de combats clandestins et autres idioties du genre... Et sur un événement. Un agissement où il avait choppé une mallette qui lui avait paru rudement précieuse, prise à un type qui avait demandé plus d'efforts que d'habitude pour finir allongé. Quel que soit le contenu de la mallette, il s'en était fait une très, très jolie somme !... Et en rentrant chez lui, alors que sa mère était au club de lecture locale, il sentit une poigne sur son épaule.
Ce qui lui sembla une minute plus tard, il était dans une chaise, le visage en sang, le crâne lourd. Il lui fallu un bon moment pour réaliser que les deux malabars en costume étaient les propriétaires de la mallette. Et au final, il y eut ce dernier échange, tandis qu'ils l’interrogeaient.
« Où est Neptune, gamin ?
-Oh les planètes, je connais ça ! Après nous c'est Mars, Jupiter, ta reum et- »
Une plaisanterie de mauvais goût, qui lui valu quelques secondes d'évanouissement. Le gros balèze ne rigolait pas, avec ses coups. En discutant, les deux réalisèrent que Touji ne comptait pas parler, et qu'il n'avait certainement plus la mallette. Un cadavre étant toujours une plaie à gérer, ils préférèrent le laisser en vie. De toute façon, avec les deux arcades fendues, c'était pas avec tout ce sang dans les yeux qu'il pourrait faire un portrait robot. Et puis, comme si un loubard allait appeler les flics ! Non... à la place, il se fit soigner par cette amie de toujours. Son... 'Aimie de toujours', en somme. Avec l'argent de la mallette, une idée lui vint : se retirer, quelques temps, ailleurs, pour faire moins de vagues ! Et pourquoi pas... en France~ ?
''La tête de ouam, c'est une putain d'idée !''
Tels furent ses propos. Filant en France en donnant un lieu de rendez-vous à son amie, il lui donna aussi une date ! Il dû prétexter une connerie, pour partir bien en avance. Assez pour pouvoir se trouver un logement miteux où squatter, et de quoi aller régulièrement à la salle de sport. Ce road-trip, c'était une excuse pour ramener sa pote de toujours en France, et se vider la tête tout en restant à l'abri d'éventuelles représailles pour sa connerie. La jolie somme suffirait pour cela ! Dans l'attente de sa pote, il avait décidé de se mettre à nouveau au sport. Très sérieusement.
Après des jours à fréquenter l'endroit, il fit petit à petit connaissance avec une charmante femme. Une française, qu'il avait d'abord repéré pour ses courbes, puis pour sa sympathie, et ses sujets de discussion. Fasciné comme tout, il se lia d'une excellente amitié avec elle. Une amitié qui devint plus solide encore le jour où elle lui avoua qu'elle voulait quitter son mari, avec qui tout se passait mal. Comprenant parfaitement ce genre de situations, il l'invita alors à rejoindre ce formidable road trip, qui fut composé de quatre personnes au caractères si différents que les imaginer dans un véhicule, ensemble, relevait du miracle.
Et pourtant, leur amitié allait trouver un nœud solide, scellé dans la roche du secret.
''… On en a pour pas mal, je pense.''
Il s'était passé quoi ? Le superbe road trip était censé faire passé au groupe un super moment, enchaîner des soirées alcoolisées plus folles les unes que les autres, voir du pays... Mais ce fameux soir, il vira au cauchemar. Sur leur route, une femme en moto venait de les percuter, s'envolant avec une force assez puissante pour que ses os percent la cage de ses muscles et de sa peau.
Touji se souvient encore du corps de la jeune femme, au souffle étouffé par la douleur, au buste qui se soulève péniblement avec ces côtes tentant de fuir à chauqe bouffée d'air... Mais il se souvient surtou du moment où il parvint à faire arrêter les soins à son amie aux cheveux roses, pour l'inviter avec son invité du road trip à voir dans la moto si il y avait la moindre info sur elle. Un temps de battement qui permit à Touji de, discrètement, serrer sa main sur le cou de l'inconnue... Et abréger ses souffrances. Cruel ? Non, elle souffrait la pauvre. Et puis, un corps en vie c'est un appel assuré aux autorités, ou aux urgences du coin de la part de Aimie. Mais un cadavre en revanche...
Dans la moto de la jeune femme, des papiers furent trouver. Mais surtout des diamants. Des diamants magnifiques, bruts, à la valeur absolument terrible. Et à côté de ça, il y avait un collier divin. Certainement reconnaissables, dans les pays de l'Est. Alors... Le plan fut simple : Touji proposa d'enterrer le corps de la femme, et le collier. Mais les diamants, en revanche, pourraient servir à des personnes mal intentionnés si ils étaient trouvés ! Du coup...
''J'les vois plus dans l'rétro ! C'est sur la concu' que je fais mes créneaux !''
Le retour en France fut très, très compliqué. Outre le fait que plus d'une fois, Touji s'était fait repéré par Aimie en pleine... activité avec son invitée du Road Trip, le poids de la situation avait de quoi faire vriller une personne normale. Mais soyons honnête : Touji ne ressentait rien d'autre que de l'impatience. Avec son argent ? Il se paya une arme. Une très bonne arme même ! Militaire, semi-automatique, production française. Avec ça, il se fit le luxe de prendre un peu d'équipement, afin de pouvoir reprendre le parcours. Et avec le reste... il permit à sa mère de vivre dans une villa communautaire dans un village de France, où elle profite de la 'pension décès' de son mari pour participer à la communauté, en plus d'aider aux jardins, ailleurs... Elle est heureuse, et semble bien contente de voir tant de vie dans les yeux de son fils.
Un fils qui n'eut plus jamais besoin de travailler avec des bas de plafond. Depuis peu, il avait été contacté par Crime.net. Un certain Seth l'avait démarché, et lui avait envoyé un masque avec une petite tâche simple à effectuée. Un vol. Fait dans la discrétion la plus totale, Touji eut droit à son accès grâce à cela... et agit maintenant pour les Geysters !
Depuis longtemps, il n'hésite pas à tuer, à agir en dehors des cadres posés par la loi, afin de pouvoir vivre correctement. Maintenant qu'il est devenu bon dans le crime, c'est l'heure de faire du profit ! Ne sachant encore où vivre, il erre par endroit à la recherche de son prochain salaire. Et dans son sourire en coin, plein de malice, on sent qu'il ne présage rien de bon...
Crime.net
Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
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