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Nodoka - Already seen that, and that too. [terminé]

Nodoka N. Ketsugo
Nodoka N. Ketsugo
Money Grabber

Carte d'identité
Genre: Femme
Âge: 23 ans
Origine: Japonaise
Orientation sexuelle: Pansexuelle
Nom de code: mekurabe
Spécialité / Métier: Modératrice de contenue
Compétences: Hacking (Lv.1) // Technologie (Lv.1)
Accréditations: ///
https://enjoyyourcrime.forumgaming.fr/t176-dossier-nodoka-n-kets
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Nodoka Ketsugo
ID Card
  • Âge : 23ans
  • Sexe : Féminin
  • Origine : Japonaise
  • Orientation sexuelle : Pansexuelle
  • Métier : Modératrice de contenue
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mekurabe
EN LIGNE
  • Groupe : LYUDI
  • Alignement : Esprit libre
  • Objectifs : Continuer de vivre sa vie comme elle le souhaite en gagnant de l'argent

 
Caractère

 
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Sphaerocoris annulus
Il n’y a pas que le style vestimentaire de Nodoka qui soit haut en couleur ! Complètement excentrique, sa personnalité ne passe pas inaperçue. Surtout, car elle est… bruyante, c’est le cas de le dire. Une boule d’énergie qui fait du bruit et qui n’en a rien à foutre des autres. C’est le genre de description que donnerait sa famille sur elle, si elle les laissait parler d’elle et s’ils étaient honnêtes. Nodoka aimait faire du bruit, faire connaître sa présence, à la limite égocentrique, car elle aime être sous le feu des projecteurs, que tout le monde s’intéresse à elle. Son caractère se reflète donc dans ses choix vestimentaires avec des couleurs flashy et un maquillage… Pas vraiment orthodoxe, surtout quand on sait qu’elle est japonaise, descendante d’un salaryman et d’une salarywoman. Cependant, c’est un trait de caractère qu’elle traîne depuis l’enfance, certainement à cause d’un terriblement manque d’affection familiale de la part de ses parents complètement absente. Ce n’est pas la faute de sa tante qui a fait du mieux qu’elle a pu pour l’élever et rendre les week-ends intéressants pour Nodoka.

Car il en faut pour garder la concentration de Nodoka sur quelque chose. Cette véritable pile électrique qui ne demande qu’à être canalisée à besoin de pas mal de stimulation pour rester en place. La Japonaise a toujours un téléphone dans les mains, si ce n'est deux quand elle le peut. Ce qu’elle fait ? Elle joue. Son cerveau accepte avec plaisir le “multi-tasks”. Elle vous écoute avec les deux oreilles alors qu’elle détruit son dernier score. Friande de nouvelles expériences et de stimulation, elle est surtout une fana de jeux vidéo, elle n’hésite pas à s’acheter les derniers jeux, les dernières consoles. Et si ce n’est pas une console ou un téléphone qu’elle a entre ses doigts, ce sera certainement Kyuso qu’elle tiendra aux creux de ses mains. Si quelque chose l'ennuie, vous allez rapidement le savoir, car elle ira faire autre chose. Ou si c’est vous qui êtes ennuyeux, que vous n’arrivez pas à piquer sa curiosité suffisamment, elle bâillera.

Vespa mandarinia
Non parce que bâiller sous le nez de quelqu’un, il faut vraiment manquer de politesse. Nodoka connaît les formules politesse, mais les évite allégrement. Son manque de manière se ressent totalement dans sa “franchise”. Même si vous ne lui demandez pas son avis, elle vous le donnera quand même. Votre chemise est moche ? Elle vous fera la remarque d’entrer ? La Japonaise n’est pas là pour tourner autour du pot, si elle a quelque chose à vous le dire, elle le fait. D’ailleurs, ça ne la dérange pas le moins du monde de dire clairement ce qu’elle pense. Vous êtes plutôt con ? Oui, elle vous le dira. Plutôt attirant ? Elle vous le dira aussi. Nodoka n’a pas sa langue dans sa poche comme on dit. Comme dit plus haut, elle est très bruyante. Ah, mais ne vous inquiétez pas, car elle accepte la critique. Oui, enfin, tout est relatif sur le terme “accepté”. Elle s’en fout. Techniquement, elle l’a entendu, mais est-ce qu’elle le prendra en compte… Pas vraiment ? Peut-être ? D’ailleurs, en passant, c’est cette même “sincérité” qui fait qu’elle se retrouve toujours dans des situations… Pittoresques. Ou qu’elle entraîne les autres dans des situations parfois loufoques, parfois dangereuses.

Du coup, si Nodoka arrive à se foutre dans la merde, peut-elle s’en sortir seule ? Insouciante comme elle est, cela ne veut pas dire qu’elle n’assure pas ses arrières. Elle a plusieurs cordes à son arc. Enfin, ce n’est pas grand-chose, mais elle adore les couteaux. Ce n’est pas la seule chose qui la passionne, mais elle possède un couteau papillon iridescent. Saviez-vous que les animaux venimeux ont des couleurs chatoyantes pour prévenir les potentiels prédateurs de leur toxicité ? Bah, c’est un peu la même chose pour Nodoka, autant au niveau de son exécrable caractère que de sa dangerosité pour survivre. Elle sait vaguement se battre, mais elle ne se laissera pas faire, clairement pas. Mordre, coup bas, tout est permis pour la jeune japonaise. D’ailleurs, c’est la première à proposer des méthodes de dissuasion aux (peu) d’amis qu’elle a.

Latrodectus hasselti
Malgré son côté épicurien, qui ne pense qu’à son propre bonheur et plaisir, Nodoka dû bien gagner sa vie. La Japonaise est devenue… Insensible à un certain type de contenu. Elle a toujours adoré les films d’horreurs, mais ça, il s’agit de la fiction. Oui, simplement de la fiction… sauf quand c’est littéralement votre travail. Les slashers et autres avaient toujours eu le don de fasciné la jeune femme qui s’empressait de se tourner vers certains sites pas vraiment recommandé pour les enfants, ni même les adultes. Les fameux sites “Leaks” qui permettent de voir des accidents plus violents les uns que les autres. Loin de là, Nodoka ne ressent pas une excitation sexuelle pour ce genre de contenu juste… Une véritable curiosité morbide. Bien sûr, son travail a bien aidé à tirer une balle dans la tête de l’empathie pour ensuite l’enterrer bien profondément sous terre. Aucune empathie pour le genre humain, car Nodoka a rapidement compris que ses congénères ne sont que des sous-races. Mais cela n’empêche en rien la Japonaise d’être une fêtarde de première ! Après tout, le meilleur moyen de rendre son existence un peu pimenté, c’est de rencontrer un maximum de gens. Nodoka est, certes, la pire des personnes qu’on pourrait avoir dans sa liste d’amis, mais si vous arrivez à plus ou moins former un lien assez fort avec elle, elle vous aidera. Peut-être en vous demandant une contrepartie. Tout dépend de son humeur qui est, soyons honnête, très changeante.

Il est bon à noter les quelques centres d'intérêt de Nodoka. En plus des jeux vidéo, des lames, elle nourrit un intérêt tout particulier pour la mycologie et l'entomologie. Comprenez ici qu’elle peut passer des heures à se renseigner sur des champignons et des insectes… Et cela ne la dérange en rien de se balader en forêt pour ramasser des cèpes ou bien se perdre dans des livres sur des insectes. Surtout, ne la lancez pas sur le sujet. Elle est pire qu’un gamin de cinq ans qui vient de découvrir les dinosaures. Il y a une raison toute particulière pour laquelle Nodoka se passionne pour les champignons : les champignons hallucinogènes. Certes, les autres types de champignons, mortels ou non, la font vibrer tout autant, mais elle adore ceux qui sont hallucinogènes. Consommatrice ? Oui. Pourquoi ? Parce que c’est fun putain.

Harmonia axyridis
Ce n’est pas un secret, mais Nodoka donnerait sa vie pour Kyuso. Kyuso est un rongeur de type rat, tout blanc avec le haut de son corps gris. Kyuso aurait dû mourir au moins deux fois dans sa courte vie si Nodoka était un peu plus attentive. Il fait partie aussi des rares rats à avoir fait du saut à l’élastique. Maintenant qu’il a trois, il se fait un peu vieux, et Nodoka redoute le jour fatidique de la mort de son adorable rat. Il vit les mêmes aventures que sa propriétaire, et semble avoir un caractère plutôt docile, bien que Nodoka s’amuse à lui donner une voix et sa propre personnalité. Heureusement pour Kyuso, sa personnalité est loin, très loin du caractère odieux de la Japonaise.

 
Physique

 
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Acharia stimulea
S’il faut décrire Nodoka, le mieux est de la mettre complètement nu, sans maquillage, ni vêtements. Du haut de ses un mètre soixante-six, l'hyperactive frôle la maigreur avec un poids qui varie entre quarante-cinq à quarante kilos si elle ne fait pas attention à son alimentation. Nodoka possède un métabolisme que beaucoup de gens aimeraient avoir : manger des cochonneries sans vraiment avoir de répercussions. Même si son organisme ne doit pas apprécier de devoir se contenter d'un paquet de chips comme déjeuner pour tenir toute une journée. Elle est maigre, ses côtes presque saillantes sur une peau terriblement blanche. Son corps n'est pas sculpté, la jeune femme ne faisant pas de sport pour muscler son corps. Un corps filiforme, comme on peut se l'imaginer à cause du manque de sport et d'une alimentation équilibrée. Une poitrine plutôt plate, un timide bonnet B. Pas de forme donc, même si Nodoka s'en fout. Elle aimerait bien se muscler, mais sa fainéantise prend le dessus, et aussi qu'elle a des quêtes à faire sur son jeu.

À l'origine, les cheveux de la Japonaise étaient noirs de jais, elle décida de les teindre en vert pour exprimer sa créativité, mais surtout pour se démarquer de ses compatriotes. Elle refuse d'être aussi ennuyante qu'eux, coincés dans un train-train quotidien sans s'amuser. Des yeux noisette qu’elle cache sous des lentilles colorées. Elle ne garde que son teint blanc de son apparence d’origine. Des cheveux verts donc, presque rarement coiffés, une frange cachant son front qu’elle trouve trop large par moments. Ses cheveux sont courts à l’arrière, deux longues mèches encadrant son visage. Un visage couvert de marques indélébiles. Au grès de ses envies, elle peut changer les formes géométriques, même si elle a une préférence pour deux variations : trois points sur la ou les pommettes, trois traits sur le nez ou bien un unique très denté sur l’arrêt du nez ou bien sous les yeux. L’explication sur l’origine de ces traits ? Sortir de lot et rien d'autre. Oh et ça empêche aussi la reconnaissance faciale par les systèmes de surveillance. Dans ce monde où la technologie devient de plus en plus poussée, il devient difficile de cacher sa véritable identité autrement que sous un masque. Notre Japonaise est un peu paranoïaque sur les bords, oui.

Le plus dur serait de décrire le style vestimentaire de la Japonaise… Enfin, on pourrait le résumer en quelques mots simples : colorés et garçon manqué. Elle adore surtout porter des sweats de toutes les couleurs, aux motifs variés. Elle possède une collection étonnante de t-shirts graphiques, soit des groupes de musique, mais le plus souvent des t-shirts sur les jeux-vidéos, les mangas ou animes qu’elle a pu lire. Des pantalons allant du jeans au baggy, ou des shorts en été. Vous ne la verrez jamais porter de robes ou de jupes, même si elle trouve cela super mignon, et ne se voit pas porter ce genre de chose… Pour compléter sa tenue, une vieille paire de baskets en tissu ou des rangers. Nodoka n’est pas très coquette, mais elle met un point d’honneur à ne pas sortir sans ses marques noires sur le visage.

 
Histoire

 
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La naissance de ce petit bébé au sein du foyer Ketsugo marquait la fin des nuits tranquilles. Quel prénom lui avez-vous choisi ? Nodoka. Oh, c’est un joli prénom ! Un second prénom ? Nanashi, comme votre sœur ? C’est adorable ! Les trois premières années de la vie de ce bambin aux cheveux noirs étaient les plus calmes que Natsuki et Satoshi Ketsugo connaîtraient pour le reste de leur vie. Enfin, fallait-il encore que Satoshi soit là pour voir sa petite fille grandir ? Satoshi était votre salaryman typique : travail, métro, travail, métro… Voyages d’affaires. De nombreux voyages d'affaires surtout. Natsuki était donc là, à s’occuper seul de ce petit bébé sans défense. Jusqu’à ce qu’elle soit en âge d’être propre et de parler. Natsuki devait retourner à sa carrière, et Nodoka passa plus ou moins ses précieuses premières années à la garderie, chez sa tante, et parfois chez elle.

“ Nodoka, ça SUFFIT. “ Nanashi saisit alors la gamine par le poignet, sa main pleine de terre et d’asticots. Du haut de ses sept ans, elle était en train de terroriser sa cousine de trois ans son aînée. Un enfant terrible qui était abandonné régulièrement par sa mère chez sa tante pour les week-ends. Heureusement que la sœur de Natsuki était une mère au foyer, et qu’elle considérait Nodoka comme sa seconde fille… Même si elle devait admettre que cette gamine était juste infernale. Impossible de faire tenir en place cet enfant, si elle laissait Nodoka seule avec sa propre fille, elle finissait par la tourmenter. Elle qui pensait que ça serait l’inverse, que sa fille embêterait Nodoka, car elle était plus jeune qu’elle. Mais non, c’était la gamine hyperactive qui essayait de faire manger de la terre et des insectes à sa cousine. Nodoka laissa alors tomber les invertébrés au sol, un large sourire édenté aux lèvres.

Nodoka avait besoin d’être canalisé, d’avoir l’attention de ses parents… Ou au moins d’un professionnel. La pauvre était littéralement livrée à son propre sort, passant de la garderie à sa tante, puis au foyer familial. En fin de compte, elle considérait plus la maison de Nanashi comme la sienne, considérant même parfois sa tante comme sa mère, même si elle lui faisait vivre une véritable misère… Mais ses visites chez Nanashi se faisaient de moins en moins fréquentes, surtout quand elle entra au collège. Elle n’avait maintenant plus besoin, d’après Satoshi, d’aller chez sa tante aussi régulièrement. Natsuki essaya tout de même de faire comprendre à son époux que sa fille était encore jeune, mais Nodoka était d’accord avec son père. À douze ans, la voilà réellement livrée à elle-même. La gamine rentrait de l’école, accueillit souvent par le silence de leur petite maison typiquement japonaise. Au début, la solitude était le pied pour une jeune fille aussi turbulente qu’elle : elle pouvait manger autant de cochonnerie qu’elle le voulait, regardait la télé le soir en attendant que sa mère rentre… Pour rapidement aller se coucher comme-ci de rien été. Mais à la longue, Nodoka finit par s’ennuyer.

Un ennui qui se répercuta rapidement sur ses notes. Non pas qu’elle soit stupide, mais juste… Désintéressée par l’école. D’ailleurs, Nodoka n’avait pas vraiment d’amis, surtout à cause de son comportement vis-à-vis des autres élèves. Trop garçon manqué pour aller avec les filles, et trop bizarre pour vraiment rejoindre les garçons. Elle passait donc ses récrés avec les fourmis derrière le bâtiment de sports. Non vraiment, elle passait son heure de détente à les observer, d’aller à un point A au point B. C’était bien l’une des rares choses qui semblait captiver la jeune fille.

Mais le plus dur, ce n’est pas de vivre comme une paria dans la cour de récréation. Le pire était à venir. Elle n’oublierait jamais ce jour à vrai dire. Quatorze ans à peine, les hormones en ébullition, et toute contente de pouvoir quitter l’école plus tôt, Nodoka n’avait qu’une seule envie : rentrer chez elle pour jouer au dernier jeu vidéo qu’elle avait acheté la veille. Comme à son habitude, elle pensait qu’aucun de ses parents ne serait à la maison. Juste elle et un paquet de chips feraient l’affaire pour cet aprem ! Alors qu’elle rentrait chez elle, prenant à peine le temps de retirer ses chaussures, elle fila dans la cuisine, et en ouvrant un placard, elle fronça les sourcils. Il y avait une paire de chaussures dans l’entrée. Celles de sa mère, et une autre paire de chaussures. Peut-être son père ? Ils avaient réussi à avoir une après-midi ensemble. Autant Nodoka leur en voulait pour ne pas l’avoir prévenu, autant elle était habituée à être mise de côté. Elle fronça les sourcils en entendant des bruits… Bien étrange. Sans faire de bruit, elle monta les escaliers, et les bruits se précisent. La voix de sa mère, des soupirs chauds, des supplications d’aller plus vite… Nodoka pouffa un rien devant la porte close. Est-ce que ce ne serait pas hilarant d’ouvrir la porte en grand et de les surprendre ?!

Non, ça n’a pas été marrant du tout. Surtout quand son paquet de chips heurta le sol. Surtout quand Nodoka vit sa mère, à quatre pattes sur le lit marital, et son oncle en train de besogner sa mère. La porte avait claquée assez fort pour que les adultes s’arrêtent, Natsuki poussant un petit cri en voyant sa fille, les yeux aussi large que des soucoupes. Les larmes aux yeux, Nodoka lui souffla un “Salope” à mi-voix avant de descendre en trombe les escaliers. Elle qui aurait aimé passer une après-midi à jouer au jeu vidéo, elle sortit de chez elle. Pouvait-elle encore considérer sa maison comme un lieu de paix ? Ne se laissant pas rattraper par les adultes nus comme des vers, elle courut aussi loin que ses jambes d’adolescente puissent l’emmener. Impossible d’aller chez sa tante. Le meilleur endroit ? Elle n’en avait pas vraiment, à part d’aller se réfugier dans une aire de jeu. Recroquevillée sur elle-même, elle pleurait tout ce qu’elle savait. Quatorze ans, et en pleure, dans sa tenue de collégienne.

Comment vivre avec un secret pareil ? Un secret qui pourrait briser votre famille, et celle de votre tante. Deux ans s’écoulèrent où Nodoka n’avait rien dit. Oh, mais elle n'adressait plus la parole à sa mère. Ni même à son père. À peine sûr qu’elle soit sa fille biologique. Un tourment psychologique qu’elle vivait en silence. Qu’elle voulait vivre en silence. Nodoka ne voulait même plus aller voir sa tante Nanashi. Seize ans, et en pleins milieu d’un repas où ses deux géniteurs étaient présents, elle annonça sans une once d’émotion. “ Je veux vivre en pensionnat.” C’est d'ailleurs à cette même période où Nodoka s’était complètement refermé sur elle-même. La meilleure solution qu’elle avait pour son problème actuel ? Fuir. Quelle idée de faire un enfant quand aucun des parents n'était présent au foyer, pour ensuite tromper son compagnon…

À peine eut-elle mis un pied dans le pensionnat que Nodoka changea complètement. Décoloration de ses cheveux pour passer à un vert électrique, et plus les jours passaient, plus elle se trouvait son propre style. Même si elle devait respecter l’uniforme du pensionnat et du lycée, cela n’empêchait pas Nodoka de se grimer avec du maquillage à peine la cloche de sortie retenti.

Des années où Nodoka était libre, sans parents. Elle avait carrément tiré un trait dessus. Aucun message de sa part, ni même de leur part. Le pensionnat était bien sûr payé par les parents, elle rentrait chez elle pour jouer aux jeux vidéo, et sortir en boîte, faire des soirées. Pas une seule fois, elle adressait la parole à ses parents, s’ils étaient présents à la maison.

Nodoka décrocha son diplôme au bout de ses années de lycée. Et maintenant quoi ? Petits boulots sur petits boulots. Elle n’avait pas vraiment d’autres choix. Les études supérieures ne l’intéressaient pas plus que ça. Et elle n’avait pas vraiment envie de faire plus. Avait-elle besoin de faire plus ? Pas vraiment. Après son troisième boulot à mi-temps de la journée, Nodoka poussait son cul dans un cybercafé pour squatter ici pendant des heures. Elle vivait là, en réalité. Elle vécut dans un cubicle pendant quelques années, jusqu’à amasser assez d’argent pour louer un petit appartement dont les Japonais avaient le secret. Une fois installé dans son deux-pièces, c'est-à-dire salle de bain et petite pièce à vivre, elle installe son ordinateur. Pour fêter ça, d’ailleurs, elle se trouva un compagnon. Kyuso, un adorable petit rat bicolore !

Maintenant, que Nodoka avait de quoi vivre, elle put se focaliser sur quelques choses un peu plus à sa portée. Dans le cybercafé, elle ne faisait pas que jouer, elle apprenait. Elle proposait aussi ses services. En peu de temps, Nodoka acquit assez d’expérience pour hacker des conneries. Foutre en l’air un site ou deux pour de l’argent, hacker des serveurs de jeu. Ça n'a pas toujours été chose facile, mais apprendre sur le tas était la meilleure des choses à faire dans son cas.

Maintenant, il fallait que Nodoka se trouve un véritable métier, avec un salaire. Pas des petits boulots horribles à la con. Comme envoyée par un quelconque dieu, elle reçut une bien étrange offre d’emploi : “Scanner toutes les images”. Pour résumer, elle faisait ce sale boulot qu’on refile aux gens qui n’ont pas de vie. Elle travaillait pour une plateforme assez connue, un réseau social utilisé de tous, malgré l’explosion de l’Amérique.

À peine installée dans son propre appartement, la jeune femme reçut un mail bien curieux. Avec le traumatisme que Nodoka avait subi, elle détestait les secrets de famille. Et ce mail attisa la haine qu’elle vouait à la notion même de “famille”. Une femme l’avait contacté, prétendant être la sœur expatriée de son père. L’histoire était… Unique en son genre. Elle avait fui pour vivre son idylle amoureuse, la famille Ketsugo ayant complètement coupé les ponts avec elle. Prévenante, réconfortante… Avait-elle eu vent de quelque chose que Nodoka ignorait ? Après tout, elle avait complètement coupé les ponts avec sa propre famille, un véritable électron libre sans attache… Peut-être que ses parents avaient vraiment divorcé, sa génitrice avait peut-être essayé de la contacter, mais Nodoka n’avait jamais répondu, pire encore qu’ignorer, elle avait carrément bloqué les possibilités d’être contacté par ses parents. Alors recevoir le mail d’une inconnue prétendant être une tante, elle était suspicieuse, on dirait du mauvais catfishing…

Nodoka demanda alors à voir une photo, et fût assez surprise d’en recevoir pas mal. Des photos d’une femme, rayonnante, et d’un jeune homme. C’était… Son cousin ? Du moins, c’est-ce que la femme prétendait. Elle n’était pas idiote, et la jeune excentrique avait bien vu la ressemblance entre son père et la femme, qu’elle pouvait maintenant considérer comme sa tante. Et ce gars, comme son cousin alors… ? Elle était bien trop intriguée par cette histoire, et même si au fond elle détestait le concept de la famille, elle voulait en savoir plus. Nodoka reprit donc contact avec Touji, voulant à tout prix le rencontrer pour s'assurer qu’elle ne se faisait pas catfish même si elle avait vérifié au moins 5 fois l’origine de ce mail...
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Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
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Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
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