Willard Knox
Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 48
Origine: Australienne
Orientation sexuelle: Pansexuel
Nom de code: Xx_Scarlet_xX
Spécialité / Métier: Détective Privé
Compétences: Pilotage Niv. 1
Accréditations: Outer Haven / Oxford
C’est ce qui ressort le plus, finalement. Un clown, pitre de la classe, ou véritable comédien à mes heures perdues, je suppose que le qualificatif de troll, comme on l’utilise sur Internet, m’irait le mieux. Et si je vous disais que j’étais présent, à l’époque où ce terme avait été utilisé pour la première fois, vous comprendriez d’où me vient cette propension à faire chier mon prochain.
Mais si cette attitude désinvolte, et détestable, semble de prime abord, être la raison d’une ignorance totale de ma part, c’est bien l’inverse : rien que cette délimitation des deux réactions différentes prouve l’utilité d’une telle attitude, finalement. Selon la réaction des gens, il est plus simple de fouiller dans leurs esprits, et les analyser, de sorte à mieux les appréhender. Il s’agit de cela, finalement, et certainement le plus important dans ma profession : j’analyse les gens, à chaque instant, et je suis même prêt à les manipuler pour en savoir plus sur ceux-ci.
Il y en a bien qui dénotent complètement de ce schisme, et ces gars-là sont certainement les plus détestables. Je sais que je suis censé parler de moi, mais, aussi ironique que cela puisse paraître, c’est important pour me comprendre ! Ceux qui sortent des sentiers battus, par leur attitude indéchiffrable, et la folie derrière leurs actes me sortent complètement par les yeux. Dans un sens, je préférerais certainement être tabassé à nouveau, plutôt que d’avoir à m’occuper de ces gens-là.
C’est sans doute un de mes plus grands défauts, je dirais : il est simple pour moi d’appréhender les événements, dans la mesure où je suis capable de les prévoir. Mais une fois sorti de ma zone de confort, la panique prend vite la place à ma réflexion, somme toute assez importante. Sans doute ma plus grande fierté, mes années dans le métier m’ont clairement permis de développer un esprit de réflexion plutôt adéquat à l’orgueil. Oh, orgueilleux, il était certain que je l’étais, mais on ne pouvait pas vraiment m’en vouloir lorsqu’on était aussi compétent dans son domaine.
Toutes les qualités que l’on demandait à un homme de ma trempe, je les présentais, à coup sûr : qu’il s’agisse d’intelligence, de culture, de connaissances, et toute autres compétences que l’on pourrait qualifier de stupides dans d’autres circonstances : la comédie était mon atout, bien évidemment, j’avais aussi une capacité à lire le visage des gens… Dans une moindre mesure. Le langage corporel n’étant pas une science exacte, il est toujours plus simple de faire croire aux gens qu’on est capable de les lire comme un livre ouvert, plutôt que de réellement le faire.
La ruse, et le contrôle de l’information, sont donc mes armes les plus puissantes. Dans un monde aussi numérisé et informatisé que le nôtre, ces deux qualités sont certainement primordiales. Et alimenter la légende n’est qu’une simple étape de cette manipulation à grande échelle, d’où mes manières, exagérées, ou alors le choix de mes vêtements, visant à créer la réaction chez le premier venu.
Après, il est clair que toute cette attitude, à grande échelle, m’apporte bien des soucis. Aussi charismatique que je peux être (l’humilité n’étant pas une qualité que je pourrais me vanter de prouver), il est clair que mes actes empêchent de me sociabiliser convenablement, et c’est bien voulu. Il m’a toujours été difficile de m’attacher aux gens, membres de ma famille inclus, au point que rejeter leur proximité m’est comme une seconde nature. Pas sûr de savoir s’il s’agit de peur, ou d’autre chose, mais le fait et que j’ai vite accepté cet état de fait. Seuls les liens professionnels me servent, actuellement, et pour de bien bonnes raisons.
Il y a quelque chose, en particulier, que je tiens à préciser tout de même : je suis fan de Rock classique ; pas la merde dérivative que ces dernières décennies nous ont pondu, mais bien les chefs-d’œuvre d’Elvis ou de Led. Dans un sens, il serait facile de s’en rendre compte au nom de mon agence, ou alors à la musique qui accueille chaque client qui entre dans ses locaux. Et si mon amour de la musique est puissant, et plein de couches, celui-ci est accompagné d’une propension à la danse extrême : j’aime danser, ce qui est ironique, avec ma jambe qui déconne. Sans doute une punition divine pour m’avoir fait dévier du droit chemin, au Texas.
D’ailleurs, si le scepticisme est une valeur appréciée d’un détective, surtout aussi connu que moi, je ne suis pas du genre à refuser la possibilité d’éléments de notre monde que l’on ne peut encore expliquer : il s’agit d’un univers aux possibilités infinies, après tout… La surprise est toujours capable de poser le bout de son nez, aux moments les moins propices.
Maintenant, si quelqu’un veut profiter de moi, il y a bien deux choses qu’on peut utiliser : mon addiction pour l’alcool, et mon amour des jeux. À vrai dire, la majeure partie de mes moyens me permet de nourrir ces péchés bien trop agréables pour être considérés comme tels ! Si on ne sait pas où je suis, alors il est presque certain de me retrouver au Rio Grande Casino. Toujours équipé d’un verre d’alcool à la main, si ma flasque de rhum, planquée dans la poche intérieure de ma veste, est vide. Jusqu’à présent, les dettes sont gérables, et les revenus que me permet mon agence sont assez importants pour qu’on me laisse tranquille. Mais si jamais on arrêtait de m’appeler à l’aide pour quelconque raison, alors je serais certainement forcé de me reconvertir… Les Vrachs semblaient être une porte de secours assez légitime, bien qu’avec ma santé, et mon aversion envers le meurtre, je n’étais pas sûr que je serais accueilli à bras ouverts parmi eux.
C’est là où le bât blesse, je suppose, et que mon horreur du paradigme actuel me désole : toute forme de meurtre est, pour moi, le moyen le plus simple de créer un déshonneur à la vie. Ce qu’on peut trouver ironique, sachant que je vis de ces choses… Mais si à la base, ma profession est devenue un moyen pour moi de rassasier ma curiosité morbide, avec le temps, j’ai fini par comprendre quelque chose : ceux qui finissent par tuer sont, à mon avis, de bien piètres personnes. La faiblesse de la facilité, ou autres dénominations pathétiques, qu’en savais-je. Lorsqu’on en arrivait à commettre un crime aussi puissant (et bien d’autres violences rentraient dans cette catégorie, par ailleurs), c’était que l’on méritait d’être déchu de ses libertés. Et ça me permettait aussi de me nourrir, je n’allais pas mentir.
Mais en réalité, je n’avais pas le corps le plus athlétique. Si je n’ai jamais été un grand sportif, mes dernières années ont été les plus difficiles à assumer, la faute à l’alcool, assurément. C’est d’ailleurs la raison de mes traits du visage qui me donneraient bien dix ans de plus que j’ai en réalité : les rides, les joues creusées, ou encore la chevelure argentée, la faute au stress qui a transformé mes cheveux déjà blonds platines en une ode à la vieillesse. Une impression qui ne s’arrange clairement pas avec ma barbe, que je me permets de raser une fois par semaine…
Plutôt que des muscles taillés, et saillants, mon buste n’a rien de la dignité de celui d’un athlète, malheureusement pour ces dames. Et on peut même remarquer la preuve de mon alcoolisme au niveau de la petite bedaine que je me permets de porter ! Sans oublier les poils, présents jusqu’à mon torse. Ironiquement, je déteste que l’on me compare à un ours, mais bon, le fait est que, j’ai été gracié de ce surnom plus d’une fois.
Utilisant très souvent ma moto pour me déplacer, mon attirail est souvent propice à de tels balades, d’où le cuir, et les mitaines. On peut aussi trouver un holster à ma ceinture, équipé d’un revolver, bien que je ne l’utilise jamais, pour des raisons évidentes. Ça permet toutefois de m’éviter le plus de problèmes, lors de mes affaires. Et mon éducation texane m’a permis de savoir m’en servir, si jamais l’occasion s’y prêtait vraiment.
J’ai un défaut au niveau de la jambe droite, qui m’empêche de pouvoir courir trop vite, ou de marcher trop longtemps… Il m’arrive parfois d’utiliser une canne pour me déplacer, lorsque la douleur est vraiment ingérable, et cette jambe est mon point faible le plus évident. À vrai dire, il serait certainement facile de me vaincre si jamais on en venait aux mains, c’est bien pour cela d’ailleurs que j’évite le conflit physique le plus possible ! Encore une fois, tout est une question de théâtre, finalement.
Je coiffais le plus souvent mes cheveux en les lâchant le long de ma tête, plongeant alors jusqu’au-dessus de mes épaules. Il m’arrivait parfois d’en faire une queue-de-cheval, lorsque je voulais être particulièrement chic, mais voilà, ces instants étaient extrêmement rares. Mes yeux bleus azurs, et ma mâchoire plutôt rauque, carrée, prouvaient mes origines germaniques, pour sûr. Et si ma voix n’avait pas cette teinte douce, presque humoristique, on pourrait presque penser que j’avais la dégaine clichée d’un lutteur américain. C’était bien pour cela, d’ailleurs, que je m’étais entraîné à adopter un accent australien parfait, dans le but d’effacer le plus possible mes origines. Il m’est facile de jouer avec ma voix, mon timbre, et mon accent, le résultat de quelques années de théâtre exacerbées par ma volonté de vouloir manipuler mon prochain.
Bien que la participation au théâtre était, somme toute, une nécessité accablante, voilà que celle-ci me permit d’arriver à développer plusieurs réflexes, qui deviendraient par la suite des outils importants de ma vie professionnelle… Vous le saviez bien ! Le mensonge, l’invention en tant que tel, l’imagination. La prise de parole, le jeu… Toutes ces choses qui faisaient de Willard cette flamboyante personnalité que l’on connaissait tous. Mais qu’est-ce qui avait pu permettre une telle métamorphose, somme toute radicale ? Si ce n’était ce que ma vie était devenue après mon diplôme.
À la fin du lycée, donc, cette obsession était devenue ma vie… Littéralement. Entamer des études de droit était devenu une nécessité pour moi, non pas dans le but de devenir avocat, ou autre métier juridique détestable, mais bien ouvrir ma propre agence de détective privé. Ce qui ne serait pas difficile, de surcroît, sachant que le paternel était un agent de police. On pourrait juger le népotisme autant que l’on voulait, le fait était qu’au moins, je mettais toutes les chances de mon côté. Et j’en voulais pour preuve, après bien trois années d’études, et trois autres à exercer dans un cabinet d’avocat quelconque de Dallas, en tant qu’assistant juridique, j’avais enfin pu ouvrir mon agence, les liens de mon père, ainsi que ma formation en droit m’aidant à rameuter une clientèle fidèle dès mes débuts.
Il n’était pas difficile de me trouver de quoi satisfaire cette addiction. Et avec celle-ci venait une encore plus dangereuse, celle de l’acrobatie sur cette corde fine, branlante, d’une vie mouvementée et dangereuse. Et peut-être que cette obsession avait commencé depuis bien plus tôt, dans ma vie… Mes journées, et soirées entières à participer à ces communautés en ligne servant à décrypter des affaires réelles, alimentaient une curiosité morbide qui avait fini par être difficile à rassasier. Et maintenant que j’étais adulte, indépendant, et encore mieux équipé pour répondre à l’appel de la vérité, mes pas me menaient vraisemblablement à mille lieux d’où je devais me tenir.
Cette affaire était particulière, cependant, et semblait mettre en scène différents acteurs importants du gouvernement fédéral. Des gouverneurs étaient impliqués, des adolescents kidnappés. On en venait à interpréter ces disparitions comme des fugues, ou des meurtres en rien liés. Et à bien des égards, cette interprétation était la bonne. Tout portait à le croire, en tout cas, mais j’étais persuadé… Et je ne savais même plus pourquoi, aujourd’hui. Cette histoire n’avait jamais connu de fin mot. Avec l’état du pays, ce n’est pas étonnant, me direz-vous.
Il y avait de multiples pistes, et de nombreuses curiosités, menant mon instinct à me diriger vers la difficulté. C’était simple : les familles des victimes semblaient être étrangement silencieuses, ou en tout cas, les médias ne s’intéressaient pas tant à leurs témoignages. À force de recherches, dans des forums spécialisés (complotistes), et d’études des différents cas reportés, j’en vins à trouver une piste : le cartel mexicain, dangereuse organisation criminelle, représentant la mafia hispanique présente dans cet état, en particulier. Et si à l’époque, je pensais définitivement avoir trouvé une pièce d’un puzzle aussi grand que le Texas, le recul et le don de la perspicacité d’après-coup me montraient ma stupidité.
Maintenant que j’étais concentré sur une cible, une organisation assez puissante pour faire trembler le simple civil sans défense, mon obsession était devenu ma vie. Chaque instant de mes journées servait à étudier la piste, m’approcher de la Famille mafieuse, jusqu’à en arriver à m’approprier les faveurs d’une sœur d’un lieutenant important du cartel. Bien que la manipulation émotionnelle, et sexuelle, n’était pas loin de ce dont j’étais capable, il fallait avouer que cet instant de ma vie était loin d’être une fierté que je me permettais de corroborer aujourd’hui, bien qu’il était presque sûr que cette Señorita avait gardé un souvenir particulier de cette idylle interdite. Si elle était toujours vivante. Jusqu’à ce que mes messes-basses arrivent aux oreilles des dirigeants du cartel, et que j’en devienne complètement déplumé.
C’était aussi simple que cela : un gang de jeunes voyous, envoyés par la famille mexicaine, s’était permis de me passer à tabac, presque littéralement. Coups de battes, de barres de fer, de poings, de pieds, l’humiliation aurait certainement été égale à la douleur, s’ils n’avaient pas brisé autant d’os sur le chemin. Le résultat des courses avait été catastrophique : outre les blessures au visage, j’avais bien eu des côtes brisées, le fémur fêlé, un bras cassé… De quoi m’handicaper à vie, et mettre fin à ma folie des grandeurs. Et ce passage à l’hôpital avait été le moyen idéal pour moi de prendre un chemin complètement différent de celui que j’avais exercé jusqu’à présent, forçant même la fuite de mon pays d’origine. Même si avec le recul, cette réaction avait été une exagération… Plutôt une réponse liée à la honte, et la peur d’une telle humiliation. Abandonnant famille, agence, et même mon nom et mon prénom, je me retrouvai bien vite dans les terres étranges d’Australie. Et voilà comment Willard Knox est né, finalement. Bien que ce fut difficile d’effacer toute trace de mon ancienne vie, cela prit bien quelques mois, à faire profil bas, vivre à la rue, en tant que clandestin, et à exercer ma ruse pour me construire un réseau, si on pouvait appeler ça comme ça. Et cette quête fut bien difficile, jusqu’à l’événement qui chamboula la Terre entière, finalement.
Et à cela, je me permis d’adopter ma nouvelle identité : plutôt que d’origine américaine, j’étais un Australien pur souche, né à Sidney, et y ayant grandi. Ma personnalité, également, était toute autre, le théâtral devenu une part importante de la séparation avec Tyler. Plutôt qu’un calculateur froid, et introverti, j’avais adopté l’attitude d’un clown, de toute évidence, ou plutôt d’un connard qui appréciait de tourner en bourrique ses interlocuteurs. De cette manière, me disais-je, j’en venais à bien plus facilement appréhender leurs volontés… Me retrouver à m’attacher à des individus était devenu, non pas difficile, mais plutôt le moyen de me mettre dans une merde à ne pas ignorer. Impossible pour moi de me contenter d’approcher les gens dans une froideur détestable, et à force, sans même que je m’en rende compte… Willard était devenu ma véritable identité, et plus aucun effort n’était mis dans la réalisation de mon cirque.
La perte de ma famille, de mes collègues, de mes rares amis, n’avait pas été facile à digérer, cependant. Et au fil des années, l’addiction était devenue part intégrale de ma vie. L’oubli n’était pas forcément l’objectif, dans la consommation abondante d’alcool, il s’agissait surtout du seul lien que j’avais avec ma vie précédente, finalement. Et sans surprise pour personne, c’est à cette période de ma vie que la cirrhose s’est développée. La thérapie permit heureusement de la stabiliser, mais le fait était que ma consommation d’alcool n’arrangeait pas ma santé.
Vraisemblablement, c’était le cas. Bien que, complètement différent de ce que j’avais bien pu faire, aux États-Unis, ici, je m’étais fait un nom, j’étais devenu une personnalité publique, à force d’enquêtes bien plus… Exotiques, dirons-nous : d’affaires d’héritages aux disparitions qu’on pourrait qualifier de paranormales, j’en étais à un point où les hommes les mieux lotis du monde faisaient appel à mes services, dans un but très évident de dénonciation de la vérité. La fiction était devenue réalité, et les affaires écrites dans les romans les plus importants de notre histoire semblaient prendre place dans notre monde. Et dire que cette popularité avait commencé par une simple affaire stupide d’héritage…
L’aîné de cette famille, appelons-le Bart. Je me souviens plus trop de son nom – les problèmes de mémoire deviennent monnaie courante, ces derniers temps – mais c’était certainement quelque chose de ce genre. En tout cas, cet homme d’âge moyen, pas plus de la cinquantaine, m’avait engagé, dans le but d’enquêter sur la mort de son père, patron d’une entreprise quelconque d’Afrique, une de ces multiples succursales s’y étant installé pour en faire un terrain propice aux abus les plus odieux. Il était persuadé que la mort apparemment naturelle de son aïeul était en réalité un meurtre. C’était à moi de le prouver…
Et en réalité, j’aurais presque honte d’avouer que je serais presque tombé dans le panneau. Tout le monde connaît la finalité de cette histoire : Bart a été désigné coupable, grâce aux découvertes invraisemblables du Détective Knox. Mais la réalité était que le bâtard avait bien préparé son coup, toutes les pistes menaient vers une des femmes de chambre du père, qui avait, visiblement, une liaison avec lui. Mais le caractère insolite de toute cette histoire me mit sur le devant de la scène, et à présent… Me voilà à la tête de ma franchise australienne, Guns’N’Roses, agence de détective dont j’étais le seul détective, finalement. Il s’avérait que je n’étais pas le plus adroit en termes d’économies, alors engager d’autres enquêteurs relevait de la folie. Et en plus, cela permettait de nourrir la légende : je n’avais besoin que de moi-même pour mener à bien mes enquêtes.
Je ne souhaite pas être parrainé
Crime.net
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Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
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Compétences: Max
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