Clifford Cooper
Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 23 ans
Origine: Franco-Suédois
Orientation sexuelle: Toutes
Nom de code: K-9
Spécialité / Métier: Serveur
Compétences:
Accréditations:
Ce n'est pas qu'il n'est pas stable, c'est juste qu'il exprime ses sentiments à l'instant T de manière particulièrement expressive.
C'est peut-être pour compenser avec ses missions de Spetsnaz, où il devient un chien de combat. Il attend les ordres, et il applique. Il n'y à aucun jugement personnel, aucune remise en question de l'ordre. C'est un peu comme s'il mettait une partie de son cerveau en mode off. Peut-être pour se protéger de ce qu'il fait réellement, tout en se disant qu'il n'est qu'un outil, un bras armé, rien de plus.
On ne va pas se mentir, ce genre d'excuse se retournera contre lui à un moment ou un autre, va le gangréner, et le détruire de l'intérieur.
En attendant, c'est une personnalité particulièrement loyal, il se battra corps et âme pour l'ordre, et pour les personnes qu'il apprécie. Plot twist, il apprécie facilement les gens, et se lie d'amitié avec eux en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. En vrai, ce n'est pas mutuel. Il n'est pas impossible de le trouver ennuyant, énervant par son manque de charisme ou sa personnalité simple, mais lui vous considérera très certainement comme une personne qu'il apprécie. Il lui est assez difficile de détester quelqu'un. Ce n'est pas dans ses habitudes de haïr. Disons qu'il considère le monde comme une énorme gamelle, et que chaque personne, même violente envers lui, représente une personne qui pourra lui tendre la main, comme on lui tend une friandise. En prime, il est particulièrement tête en l'air, ne fait pas attention à lui-même et n'a qu'assez peu conscience du danger.
Plutôt résistant à la douleur, ou plutôt, presque insensible, Clifford souffre d'hypoesthésie, d'où son manque de conscience du danger. En somme : son sens du toucher dans certaines parties de son corps et quasi inhibé, il en est atteint au niveau des mains et des pieds.
Ce qui est particulièrement dangereux. Il ne ressent ni le froid, ni le chaud, ou plutôt, que très faiblement, ainsi que la majorité du touché. Imaginez attraper une plaque chaude du four sans manique ni torchon ? Voilà. Vous avez l'idée de dangerosité de la chose. Il ne se rendra pas compte qu'elle est chaude, est que ses mains son en train de brûler, jusqu'à ce qu'il observe ses mains.
Cela provoque aussi des soucis moteurs, car le simple fait de marcher, l'équilibre, la sensation du sol ressenti à travers le pied dans les chaussures, est un calvaire. Ne pas ressentir le sol, et donc devoir se rééquilibrer à chaque pas, car on ne ressent pas le niveau de son pied, comment il est posé, etc.
Ce n'est que le symptôme. Cela signifie qu'il y à une cause. Découvert que récemment, il est sous batterie de test pour savoir si cela vient d'une maladie congénitale, de neuropathie, de maladies neurodégénératives, ou autres élément.
Ces soucis, handicapant au quotidien, ne l'empêche pas de vivre. Cependant, cela demande une attention constante, ce qu'il n'est pas.
In fine, le Franco-Suédois est ce qu'on peut appeler quelqu'un de "gentil", de "brave", ou encore, de simplement stupide. Ce n'est clairement pas le chiot le plus doué de la portée. Disons plutôt qu'il se satisfait de sa simplicité morale, et mentale. Car oui, ce n'est pas le plus intelligent. Il ne saura pas piloter un hélicoptère en partant de rien, et même avec un manuel. Ne lui demander pas d'apprendre à jouer aux échecs, il ne retiendra pas comment se déplace les pièces. Par contre, il saura observer, et reproduire, mais pas innover. Il pourra réitérer une réparation, une action déjà vu, mais il suffit que le problème change d'un iota, et il ne saura plus quoi faire.
Vous voulez le voir en difficulté ? Mettez le dans un environnement qu'il ne connait pas, sur une tâche qu'il ne connait pas. Il sera surement en train d'escalader un arbre ou la tête dans une poubelle.
Espoir de survie en milieu inconnu : Extrêmement faible.
De sa stature moyenne, vous pourriez remarqué de nombreuses cicatrices, plus ou moins récentes, présente sur sa peau d'une pâle blancheur. Toutes ses blessures sont causé par son inattention. Manquant de sensibilité tactiles, et n'étant pas une personne des plus alertes, il n'est pas un jour sans qu'il se blesse, de la petite coupure à quelque chose d'un peu plus sérieux.
Son visage exprime sa candeur et sa maigre intelligence de benêt. Des traits francs, un menton prononcé avec un nez pointu. Aucun traits particulier, pas de gueule cassé ou de rides particulières. Seul ses yeux d'un bleu sombre le démarque des gueules plus conventionnelles, et encore.
En dehors de ça, on le remarquera par la blondeur de sa tête. Souvent coupé court, quasi militaire, le garçon adopte un look minimaliste pour sa coiffure, qui n'a presque pas changé depuis son enfance. En revanche, physiquement, il affichera des tenus sportswear, basic et streetwear. Il apprécie les marques, et tien plutôt à ses vêtements. Matérialistes ? Possible.
Sous les tissus qu'il aime vêtir se cache un corps légèrement musclé. Il prend soin de son corps comme dirait certains. Il n'est pas rare de le voir courir ou aller à la salle, mais il ne vise pas à devenir une armoire à glace.
En mission, Le jeune homme revêt une seconde peau d'un noir simple avec des lunettes de protection qui laisse voir deux orbites blanc, ainsi qu'une tenue d'agent de sécurité assez basique, rangers, pantalon cargo, veste épaisse surmontant un gilet pare-balles.
Ils se seraient rencontrés il y a de cela quelques années, elle est venue dépanner le jeune homme qui serait son père dans une convention canine sur Paris, et ils se seraient trouvés une connexion certaines durant le remorquage.
Enfin, c’est la version que Clifford connait. Peut-être que tout cela s’est passé d’une autre manière. Dans tous les cas, il y à eu un certains intérêt entre Magnus, son père donc, et Elena, sa mère, vu qu’il est l’un des fruits de leurs relation. Parmi ses deux grandes sœur et son petit frère, respectivement : Salomé, Charlotte et Allan.
Loin d’être le fils prodige, Clifford à toujours démontré quelques lacunes intellectuels. Un manque de concentration, une difficulté de compréhension et une lenteur dans son apprentissage. C’est le sportif de la famille, pas forcément le segpa, mais plutôt le garçon un peu bête qui n’arrange pas son cas.
Il à donc grandit dans un cadre familial plutôt simple et agréable.
Il eut bien vite la bougeotte, à 6 ans, il eut l’envie de faire quelque chose de ses doigts, de son corps, et trouva sa satisfaction dans la moto enduro. Un sport dans lequel il devait apprendre une mécanique particulière, propre aux deux roues, et cela devenait bien souvent des moments privilégié avec sa mère.
Lorsqu’il eu 9 ans, l’information tomba gravement à la radio, à la télé, et dans tous les journaux : l’Amérique venait d’être rasé.
Il n’était pas spécialement atteint par cette nouvelle. Après tout, il ne connaissait rien de ce pays, ni des personnes qui y vivait. Demander à un gosse une attention émotionnelle d’une chose, même très grave, venant d’arriver à l’autre bout de la planète, autant dire qu’il ne s’en préoccupait que peu. Par contre, il était inquiet et anxieux. Est-ce qu’eux aussi pouvait finir comme ça ? Est-ce que son pays pouvait être rasé ?
Ce n’est pas un manque d’attachement émotionnel, mais une question de sécurité immédiate qui passe avant tout. Heureusement, il trouva le réconfort dans les bras de sa famille qui le rassura dans ses questionnements insécuritaire.
Est-ce « normal » de détruire une partie du monde de la sorte ? Une question trop oppressantes pour l’huitre molle qui lui sert de cerveau.
La vie reprend son cours, même si les tensions sont palpables.
A la maison, si on suit les ordres, tout se déroule plutôt bien. Quatre enfants à gérer, en plus d’un élevage de chien dans le cadre du travail de son père, qui n’hésite pas à utiliser ses enfants comme seconde main, autant dire qu’il faut imposer quelques directions dans tout cela afin que tout un chacun y trouve sa place.
C’est donc dans une atmosphère presque spartiate que le jeune Clifford se développa. Il n’en était pas plus mal. On lui disait quoi faire, il appliquait, du moment que ce n’était rien de nouveau, sinon il faudrait lui montrer.
Son objectif premier, c’était de faire plaisir à ses parents, et cela passait par réussir sa vie. Non pas avec de grandes études, mais au moins trouver un travail qui lui permettrait de s’assumer financièrement. Le tout pour ses parents, c’était que chacun de leurs enfants arrive à survivre dans ce monde de fou, et s’ils arrivaient à vivre, ce serait encore mieux. Donc peu importait les moyens à leurs yeux, n’imaginant pas un instant que leurs progénitures pourraient tomber dans certains travers illégaux ou immoraux pour réussir.
En tout cas, Clifford ne remarqua rien de particulier parmi ses adelphes.
Alors tout jeune obtenteur de son bac, il stoppa ses études, n’ayant pas trouvé nécessaire de les continuer pour devenir serveur. Il aurait très bien pu aller faire des études d’hôtellerie, mais il se satisfaisait d’être un serveur lambda dans différents établissements, selon les périodes et la demande. Ce n’est qu’à 20 ans qu’il trouva sa place définitive, pour le moment, au sein d’un salon de thé pâtisserie. Pas d’heure de nuit, pas de service à pas d’heure, pas de client bourré, bref, que du bonheur.
Et ce n’est qu’un an après, en 2030, que l’établissement où il travaillait… Explosa ! Littéralement.
Un attentat, une attaque, quelque chose s’était passé, mal passé. La devanture n’affichait plus qu’un trou béant, laissant morceaux de murs et poussière tomber par intermittence. Une voiture à l’avant partiellement détruit se trouvait en lieu et place de la table n°6 et 5.
Ci et là, des corps jonchaient le sol, client comme employé. Vivant ou mort, il n’en savait rien lui-même, ayant été soufflé par l’impact d’une poutre en plein abdomen, comme si on l’avait tabassé avec une batte de baseball hyper large.
Alors que son souffle était saccadé, rauque et sifflant, rien autour de lui n’avait d’importance. Il aurait pu s’évanouir, ce n’était pas le cas. Tout son subconscient était posé sur la douleur de son diaphragme qui a beaucoup de mal à se reprendre. Des bris de verre traversent les paumes de ses mains, lorsqu’il à levé les bras pour se protéger le visage, c’est à ce moment qu’ils s’y sont logé. Mais il ne ressent pas cette douleur. Son corps est endolori sur la majorité de son tronc et de sa tête, mais ses extrémités ne semblent envoyer aucun signaux, et pourtant, ils ont été atteint.
Il essaie de se lever, et y arrive, non sans mal, et se met alors à se rapprocher de la salle, là où la voiture à atterri. Est-ce qu’il y a quelqu’un à aider ?
De la voiture sort des personnes masqués. Titubant, hésitant, ils semblent pris dans un certain désarroi. Cette entrée dans la boutique ne semblait pas avoir été prévue.
Quand on pense que le calme retombe, c’est le bruit des balles qui traversent la tôle métallique du véhicule qui se fait entendre.
Les personnes masqués, encore désorienté, ne semblent plus savoir qu’on faire. L’une de ses personnes essaye de se cacher derrière le véhicule, tandis qu’un autre se met à fuir dans la rue, rapidement descendue. Un troisième, plus alerte semble-t-il, se dirige vers lui.
Sans qu’il n’ait pu faire quoi que ce soit, et en moins de temps qu’il n’en faut pour qu’il ne réalise, le voilà pris en otage, tiré vers la réserve, au niveau de la porte arrière. Il ne voit pas qui est son agresseur, et ne prête pas tellement attention à ceux qui le poursuive et qui vienne d’arriver, il à un flingue sur la tempe, et sa dernière pensée en ce moment, c’est que ce serait cocasse d’avoir un trou dans la tête vu que son cerveau est un véritable gruyère. Enfin, ce n’est pas le moment de faire des jeux d’esprit, son stress et grandissant, et il donne tout ce qu’il peut pour ne pas mourir, soit : essayer de respirer, et de faire ce que lui dit celui qui peut en finir avec sa vie en un instant.
Ils traversent la porte arrière. Elle se referme lentement devant des personnes armés.
Alors qu’il se sent partir, manquant l’évanouissement, il croit entendre quelques chose de très reconnaissable, mais il n’est pas en état d’analyser ce que c’est pour le moment.
Il se sent tomber.
Son regard passe de la porte vers le ciel, et puis le choc avec le sol, un peu mou, se fait sentir.
Un sol mou ?
Il se rend compte qu’il est étalé sur le corps de son agresseur, descendu froidement par un de ses poursuivants qui avait pensé à passer par la ruelle arrière.
Sa vue s’obscurcit, il entendait des paroles, et des bruits de pas. Il les vit, très succinctement, entre deux battements de paupières, avant de tomber dans les vapes, l’adrénaline venant de faire une chute libre.
Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était à l’hôpital.
Il ne savait pas s’il était dans un rêve ou dans la réalité, son esprit semblait comme flotter, comme s’il n’avait pas complétement réintégré son corps. Il sentait qu’il était dans un état un peu groggy.
Il fallut de nombreux jours pour guérir, et encore plus pour lui expliquer ce qu’il s’était passé.
Un groupe anarchiste venait de braquer une banque, tandis qu’une unité d’intervention avait été déployé pour les arrêter. C’est la version qu’il reçut. On lui demanda son témoignage, afin qu’il relate les faits, mais rien de tout cela n’était clair dans sa tête.
Tout cela lui semblait si irréel, si déconnecté de sa vie.
Quelques mois passèrent.
L’établissement pu rouvrir ses portes après une sacré rénovation et une commémoration des victimes, et il put reprendre son postes, après sa guérison, physique comme mental. Même si, d’après lui, il n’y avait rien à guérir pour son esprit. Il avait simplement oblitéré les événements. Non pas comme si rien de tout ça ne s’était passé, mais plutôt comme s’il l’incluait dans « quelque chose qui peut arriver ». Ce n’est absolument pas le cas, et il se ment à lui-même, mais c’est ainsi qu’il à trouver, temporairement, une manière de se protéger. Il n’y a pas à s’en faire, si tout peut advenir.
Par contre, tout cela fit naître en lui un besoin vivace de justice, de respect de l’ordre et de la loi.
Il se renseigna alors pour peut-être entrer dans cette milice, ou en tout cas, chercher comment l’intégrer.
Il redoubla d’effort sur les entrainements physique, suivant un rythme quasi militaire afin de correspondre, potentiellement, à une demande. Il ne savait pas ce qui lui fallait, mais il le fournirait.
Il ne veut plus que des gens revivent ce type de malheur. Il veut œuvrer pour le bien commun, et pour cela, il était prêt à fournir son corps comme chair à canon.
Il ne déteste pas les humains, au contraire, ce sera par amour envers l’humanité qu’il travaillera pour cette organisation : Les Spetsnaz.
Cela ne fait pas très longtemps qu’il en fait partie, après tout, il faut rappeler qu’il n’est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir, par contre, il est celui qui va servir à débiter de la viande par paquet de douze.
Il commence à apprendre à tirer, mais ce n’est pas encore ça. Il commence à savoir se battre à mains nus, et connais un peu le maniement des armes blanches communes. Mais encore une fois, c’est un travail de longue haleine avec lui, mais satisfaisant. Car il n’abandonne pas facilement, et ne défie jamais les ordres, mêmes les plus horribles. Il considèrent que sa vie, il la doit aux hommes et femmes qui l’ont sauvé ce jour dernier, alors à présent, elle servira leurs causes, jusqu’à la moelle de ses os.
Je ne peux pas être parrainé
Crime.net
Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
Vous pouvez poster une demande de RP > ICI <
Vous devez également recenser votre avatar sur Listing des avatars et votre anniversaire sur Listing des anniversaires.
Pour finir, dans votre profil, vous devez maintenant générer votre fiche de personnage et la remplir. Affiliation est à laisser vide, pour avoir une Affiliation il faut acheter une accréditation pour une faction. Pensez à mettre votre Dossier qui sera posté dans peu de temps dans Identity Crisis dans votre profil.
Amusez-vous bien ! ~