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Ex-militaire désabusé
Mettre en cage les oppresseurs
La première fois que vous croisez Luca Hansen, il vous paraîtra un homme au caractère calme, direct et pragmatique. Il est de ces gens qui sont marqués d’un charisme et d’une autorité naturelle. Dans son cas, ceci provient d’un passé militaire incrusté dans la moindre parcelle de son être., un passé à suivre et mener pour atteindre un objectif précis. Dans un court laps de temps, vous saurez avec certitude si vous tombez dans la catégorie de ceux qui attirent son attention ou bien dans celle qu’il préfère tenir à distance. Il ne vous révélera la profondeur de sa pensée que si vous le lui demandez et soyez-en certain, vous aurez l’heure juste. Il existe une troisième catégorie ultra top secrète avec un mot de passe, mais celle-ci il la réserve spécialement pour les pires sous-merdes de ce monde. Croyez-le, vous ne voulez pas être dans cette catégorie.
Évidemment, il y a cette façade qui, une fois fissurée, révèle un être humain qui ne veut que faire le bien et aider son prochain. S’il vous laisse traverser la frontière de son cercle proche, vous découvrirai une personne loyale, passionnée et empathique avec une pointe d’humour. Il se sacrifierait cent fois pour ceux qu’il tient en estime. Sa vie personnelle est articulée autour d’une méticuleuse organisation pour conserver une forme mentale et physique exemplaire : méditation, escalade, salle de sport, karaté, jiu-jitsu et yoga sont toutes des pratiques imbriquées dans sa vie. Étant donné l’encadrement rigide de l’armée dont il s’est plié pendant de longues années charnières de sa vie, peu d’exutoires y sont présents. Mais ayant trouvé sa liberté récemment, il en découvre les saveurs peu à peu…
Blessé par son passé, désabusé par le système militaire, capitaliste et corporatif dont il est issu, des cicatrices profondes on fait de lui un homme en conflit identitaire continuel vouant une haine envers ceux qui perpétue l’oppression. Maintenant libéré, il cherche depuis peu à trouver ce qu’il est vraiment, tiraillé entre la facette du pion armé et celle de l’humain idéaliste. Pour cette raison, il a beaucoup de difficulté à accepter l’échec et l’impuissance. Sa peur de perdre encore une fois son humanité pour le bénéfice d’autrui le ronge. Pour arriver à ses fins, il est prêt à appliquer à tout prix sa propre justice, croyant avec ferveur qu’il ne sera jamais mieux servi que par lui-même pour se laver du sang qui entache ses mains. Trop de fois il a agi pour ces profiteurs du système. Trop souvent il a sacrifié une part de qui il est, refoulé ses envies, fermés les yeux et suivre les rangs comme un gentil toutou loyal. Malheureusement pour eux, la cage s’est ouverte et on ne trouve plus les armes dans l’armurerie.
Évidemment, il y a cette façade qui, une fois fissurée, révèle un être humain qui ne veut que faire le bien et aider son prochain. S’il vous laisse traverser la frontière de son cercle proche, vous découvrirai une personne loyale, passionnée et empathique avec une pointe d’humour. Il se sacrifierait cent fois pour ceux qu’il tient en estime. Sa vie personnelle est articulée autour d’une méticuleuse organisation pour conserver une forme mentale et physique exemplaire : méditation, escalade, salle de sport, karaté, jiu-jitsu et yoga sont toutes des pratiques imbriquées dans sa vie. Étant donné l’encadrement rigide de l’armée dont il s’est plié pendant de longues années charnières de sa vie, peu d’exutoires y sont présents. Mais ayant trouvé sa liberté récemment, il en découvre les saveurs peu à peu…
Blessé par son passé, désabusé par le système militaire, capitaliste et corporatif dont il est issu, des cicatrices profondes on fait de lui un homme en conflit identitaire continuel vouant une haine envers ceux qui perpétue l’oppression. Maintenant libéré, il cherche depuis peu à trouver ce qu’il est vraiment, tiraillé entre la facette du pion armé et celle de l’humain idéaliste. Pour cette raison, il a beaucoup de difficulté à accepter l’échec et l’impuissance. Sa peur de perdre encore une fois son humanité pour le bénéfice d’autrui le ronge. Pour arriver à ses fins, il est prêt à appliquer à tout prix sa propre justice, croyant avec ferveur qu’il ne sera jamais mieux servi que par lui-même pour se laver du sang qui entache ses mains. Trop de fois il a agi pour ces profiteurs du système. Trop souvent il a sacrifié une part de qui il est, refoulé ses envies, fermés les yeux et suivre les rangs comme un gentil toutou loyal. Malheureusement pour eux, la cage s’est ouverte et on ne trouve plus les armes dans l’armurerie.
Le son étouffé des mouvements résonnait contre le tapis en saccades rythmées. Cheveux longs attachés, dont quelques mèches brunes en batailles lui barraient les joues, vous ne pouvez entrevoir tout suite l’homme repoussant le sol sous son corps. Attendant quelques secondes, vous savez qu’il ressenti votre présence lorsqu’il vous fait signe de la tête en se relevant, mains sur les cuisses, le torse baigné de sueur. Il s’agit du signal et vous savez qu’il vous donne le champ libre. Une question de respect mutuel qui règne avant de pénétrer sur le tapis d’entraînement : s’assurer d’avoir la permission de ceux qui y pratique déjà. L’homme est souvent le premier à y être, concentré sur l’échauffement de ses muscles ciselés, battant l’air d’une série de coups de pieds et de mains. En vous approchant, vous ne pouvez renier la tranquillité imposante qui se dégage de lui. Les traits de son visage sont sévères, arborant un regard qui semble fatigué. Ce dernier est cadré par des sourcils épais, plus foncés que sa chevelure qui font ressortir le vert mi-sombre mi-clair de ses iris. Ses yeux sont de ceux qui semblent changer d’un instant à l’autre selon la lumière et l’humeur. Marqué d’une aura franche, impassibles qui traverse leur champ de vision avec précaution. De mâchoire carrée, crispée sous l’effort, des lèvres fines se reposent en éternelle moue attristée.
Vous ne pouvez mettre le doigt avec précision sur son âge, mais les entailles qui parcourent son corps prédisent un passé chargé en éraflures qui se mélanges à la rugosité de sa peau. De fines lignes cicatrisées, gravant des sillons de ses hanches, son ventre, son torse. Impossible toutefois d’ignorer la pièce métallique qui remonte jusqu’à son épaule gauche : un enchevêtrement froid et rigide cachant la technologie mécanique d’une prothèse. Il est rare de voir ce genre de prothèse de calibre militaire, conçue spécialement pour le combat et pour conférer à son porteur assez de solidité pour encaissé les coups, mais également pour en donner. C’est surement pour cette raison que vous ne l’avez jamais vu prendre un partenaire d’entraînement d’ailleurs.
Comme à l’habitude, il vous lance un sourire en coin avant de quitter le tapis du dojo et prendre la direction du vestiaire. Sa démarche est solide, mais fluide, comme si sa conscience se déposait dans chacun de ses mouvements. En passant près de votre position, il s’immisce à votre rencontre avec une expression sincère. « Un de ces jours, arrive plus tôt. On échangera quelques coups. » Des mots accueillants, bercés par une voix grave qui impose dangereusement le calme. Sa manière d’articuler les mots vous est étrangère, obscurcit par un héritage singulier, sauvage.
Vous ne pouvez mettre le doigt avec précision sur son âge, mais les entailles qui parcourent son corps prédisent un passé chargé en éraflures qui se mélanges à la rugosité de sa peau. De fines lignes cicatrisées, gravant des sillons de ses hanches, son ventre, son torse. Impossible toutefois d’ignorer la pièce métallique qui remonte jusqu’à son épaule gauche : un enchevêtrement froid et rigide cachant la technologie mécanique d’une prothèse. Il est rare de voir ce genre de prothèse de calibre militaire, conçue spécialement pour le combat et pour conférer à son porteur assez de solidité pour encaissé les coups, mais également pour en donner. C’est surement pour cette raison que vous ne l’avez jamais vu prendre un partenaire d’entraînement d’ailleurs.
Comme à l’habitude, il vous lance un sourire en coin avant de quitter le tapis du dojo et prendre la direction du vestiaire. Sa démarche est solide, mais fluide, comme si sa conscience se déposait dans chacun de ses mouvements. En passant près de votre position, il s’immisce à votre rencontre avec une expression sincère. « Un de ces jours, arrive plus tôt. On échangera quelques coups. » Des mots accueillants, bercés par une voix grave qui impose dangereusement le calme. Sa manière d’articuler les mots vous est étrangère, obscurcit par un héritage singulier, sauvage.
Ce fut au cœur de la péninsule sud du Kaapstad, Le Cap, que prirent ancrages les premiers fondements de ce qu’allait devenir le véritable Luca Hansen. De parents afrikaans d’ascendances hollandaises, ses origines modestes s’établissent tout d’abord lors d’un climat social post-apartheid, qui grava dans les mémoires les fractures de bien des souffrances. Issu d’une famille qui bénéficia du clivage par leurs origines, la honte d’appartenir à cet héritage eut tôt fait de s’imprégner dans la manière d’élever ce jeune garçon. Ses parents se dévouèrent à l’extrême de la réconciliation, dispersant leurs richesses aux plus démunis, militant pour une équité sociale absolue. Inculqué dès un très jeune âge à mépriser toutes formes de discriminations, peu importe la nature, le sillon idéologique cristallisa dans la psychée de l’enfant une volonté profonde d’anéantir les injustices de ce monde.
Cruciale pour son développement, cette période fut rude et parfois amère. Propulsé trop tôt dans un mode de vie précaire étant donné le choix de pénitence de ses parents, la douleur et la privation fut ponctuée de nombreux déménagements, de périodes de transitions interminables laissant des vides dans ces opportunités de créer des amitiés, établir un cercle social formateur et explorer sa sexualité. La difficulté de se forger une identité propre s’envenima par ce manque de stabilité. Bien que l’amour de son père et de sa mère furent exemplaires, les lacunes de l’environnement dans lequel il grandit posèrent les bases d’une quête de sens perpétuelle : la recherche de soi-même. Luca développa ainsi rapidement ce mécanisme de défense pour éviter de souffrir, posant des barrières émotionnelles rigides et une puissante faculté d’adaptation.
Fasciné par cette envie de faire changer les choses, d’agir concrètement pour le bien commun, mais également motivé par la menace qui planait suite à la destruction des USA, Luca s’enrola dans l’engrenage militaire aussitôt que son âge le lui permit. Malléable, endurcit, borné, il s’intégra à merveille dans les forces armées sud-africaines et on l’assigna bien assez tôt aux escouades spéciales. Vestige des brigades du siècle dernier, cette armée hautement sophistiquée gagna en spécificité de part la prolifération des corporations et des avancées technologiques. Au départ, c’est comme si toute sa vie s’alignait pour devenir le parfait petit soldat obéissant. Un exemple radical pour tous. Mais l’expérience du terrain s’étira sur quelques années avant qu’une aversion grandissante s’infiltrait dans sa morale.
Bien sûr, quel soldat doit se soucier d’une quelconque morale lorsque les ordres sont clairs et non discutables? La déchéance capitaliste des corporations explosa sur le continent africain et rapidement, l’armée pris position dans cet échiquier. Les escouades spéciales hautement entraînées et fortement équipées furent mises à prix pour des sommes astronomiques, ouvrant la porte aux mégacorportations d’assouvir leurs soifs d’expansion par des moyens beaucoup plus violents et expéditifs. Comme un moule parfait, le climat politique de l’Afrique s’emboîta à ce chaos qui vint nourrir les géants et les oppresseurs, dilapidant du même fait les droits de ceux à la base de la hiérarchie. Élevé au rang de caporal à ce moment, Luca fut maintenu enchaîné dans cet engrenage beaucoup trop puissant pour être arrêté. Coincé dans l’étau militaire, plié par la seule chose qu’il connaissait, le conflit qui bouillonnait en lui ne fut qu’exacerbé par les actes répétés ne servant qu’à ensevelir de plus en plus un semblant de justice sociale. Ravalant sa colère, il y perdit une partie de lui, mais également l'intégralité de son bras gauche lors d’une infiltration au Botswana. Propulsé dans un conflit inter-corporation, il fut capturé par les troupes ennemies et mutilé pour servir d’exemple. Tout ça au nom du profit et au rêve de grandeur d’un PDG ambitieux désirant augmenter sa marge profit pour s’offrir un troisième yacht.
L’ironie étant qu’on le décora pour son sacrifice, élevant son rang à celui de Lieutenant. L’institution lui procura une prothèse mécanique de calibre militaire afin de conserver cette ressource, mais surtout pour augmenter sa valeur marchande. Quelle corporation ne pourrait résister à l’acquisition d’une escouade dirigée par nul autre que ce Lieutenant Hansen, héros de guerre prêt à tout pour servir ses employeurs. Un morceau de bétail bon marché, une pièce de rechange avec un certain cachet prestigieux, voilà ce qu’il était devenu. Et pour cela, pour des années à être aux premières loges de l’injustice et la gâchette de l’appât du gain, il déserta. La rage lui crevait le cœur et le désir d’anéantir les profiteurs corrompus le motivait jusqu’à la moelle. Peu importe ce qu’il lui en coûterait.
Le 8 mai de cette année, l’ex-militaire rencontra l’héritière de la compagnie congolaire Anansi Technology. Sortant d’une phase obscure de sa vie, d’une fuite acharnée de son passé et du sang qui entachait toujours ses mains, cette rencontre fut un véritable point tournant. Séduit par le rêve d’utopie de la jeune CEO en devenir, l’occasion de racheter sa rédemption et agir contre ce système dont il vouait une haine profonde lui fut présenté sur un plateau d’argent. Ne serait-ce que pour cette fois, il pouvait utiliser ses connaissances militaires pour servir quelque chose de plus grand, de plus noble : un rêve de justice. Cette fois, la différence étant que Luca avait le choix. Pour cette raison, il intégra l’opération du putch qui asséna le coup de matraque au conseil d’administration corrompu, élevant l’héritière de la compagnie aux reines du pouvoir et par le même fait à celui de la République. Peu après cet évènement, il participa à l’élimination des membres corrompus restants de la compagnie avant de prendre du recul et œuvrer de manière plus discrète, ne traitant directement qu’avec Yoka Ombeni, celle qui lui avait donné cette chance de reprendre les armes pour un meilleur dessein. À cet effet et pour le remercier, il reçut la citoyenneté congolaise.
Le fantôme de son passé ne pourrait jamais être effacé, laissant des cicatrices mentales et physiques indélébiles. Sa conviction de devoir agir, de faire le ménage dans la crasse de ce monde lui donna un second souffle, un espoir de guérir petit à petit de son mal-être. Pour cette raison, Luca Hansen se consacra à l’accomplissement d’une justice personnelle assénée à la moindre occasion, dirigée vers les corporations et toutes autres organisations prétendant s’élever au-dessus de la masse. Ceci incluait ces soi-disant groupes criminels et autres New United. Il les détestait tous d’une ferveur presque religieuse, utilisant son entraînement de pointe pour assouvir sa rage. Jusqu’à ce jour, perpétuant ses actes pour faire ne serait-ce qu’une infime différence dans ce monde pourri. La lumière dans l’obscurité. Tout comme cette jeune femme qu’il croisa lors d’une intervention secrète d’Anansi Technology. Une relation établie dans la férocité de leur morale commune, de leur volonté de mettre en cage les profiteurs de ce monde un par un. Elle, Awa Kenza, qui lui ouvrit les yeux et le cœur sur une facette de sa vie qu’il avait toujours réprimée, cachée pour ne pas en souffrir.
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