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Dossier - Maya Kumari

Crime.net
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Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
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Maya kumari60 ansFemmeHindou-AméricaineDemiromantique & DemisexuelChef cuisinièreH.OwlGeysterLa BienfaitriceObjectifs : Rendre justice à son pays natales, les USA, par des actions sensé lui rendre son image. Faire changer l'avis des gens sur les raisons de leurs pertes. Trouver le, ou les, Spetsnaz qui ont tué son fils, et les abattre à défaut d'obtenir leurs rédemptions.Nanny, comme l’appelle beaucoup de personne dans le quartier de Londres où elle officie, est une personne des plus douces.

Avenante, sociable, elle à cette attitude, avec tous ses clients, maternelle. Si vous n’avez jamais connu l’amour d’une grand-mère, alors bienvenue ! Il pourra parfois lui prendre l’envie de resserrer votre serviette autour du coup, surtout s’il s’agit d’un plat salissant, comme si vous étiez son enfant.

Ses gestes attentionné et d’une délicatesse ferme montrera une vie de mère passée, d’une matriarche qui à appris à gérer une famille avec le temps.

C’est dans son petit restaurant aux odeurs d’épices ; et notamment du curry qui vous prend au corps, d’herbes séchées et d’effluves de fritures ; que vous trouverez un cocon de bien-être.
Prenez place sur une banquette aux coussins affriolants, un siège aux couleurs royales, et recevez amour, bonté et générosité de la part d’une femme de caractère.

Car derrière tout ce velours, ce chatoyant, se trouve une personne ferme, qui ne ploie pas.
Son calme est son assurance son d’airain, et sa poigne est de fer. Forte d’une volonté déjà éprouvé, plusieurs fois, il risque d’être difficile de la faire changer d’avis, notamment sur son curry d’agneau ou son Dahl de lentilles.

Arrivé à un âge que l’on dit de raison, il en est en fait tout l’inverse. Les vieux sont les plus bornés, têtus, et savent très bien ce qu’ils veulent. Maya est de cet acabit. Une dame galante qui n’appréciera pas le manque de respect sur ses convictions, sur ses choix.

Il n’y a, cependant, aucune raison pour chercher à l’ennuyer ? N’est-ce pas ? Dans tous les cas, la violence sera son derniers recours, elle ne s’y absout que lorsqu’elle considère qu’il n’y a plus d’autre choix, et qu’il s’agit du moindre mal. Et selon les missions, les gens, le moindre mal peut être décidé très vite.
Grande dame, pour une femme (1m82), elle apparait sous de beau habits amples et cintrés, aux couleurs diverses et variées. Ce qui pourrait la définir, c’est cette attitude de personne libre dans ses choix, dans son image qu’elle renvoie.
A son âge avancé, ce que les gens peuvent penser d’elle reste d’une certaines importance, surtout quand on est une romantique à l’ancienne. Trouver la beauté dans chaque chose, sourire à tout, et à tou.te.s.

En fait, ce qui reste le plus intriguant chez elle, et qui sort complétement de l’ordinaire, c’est dans un premier lieu le tatouage sous-jacent de son œil gauche, un simili de l’œil oudjat. Un signe de protection. Pourquoi ça plutôt qu’un signe plus proche de ses origines hindouistes ? Car elle n’a tout simplement jamais embrassé la religion de ses parents. Et qu’elle à grandit dans ce pays libre, où chacun fait grandir son rêves.

L’autre point marquant, c’est son cache-œil droit. Simple. Sobre. Une dame borgne, ça passe rarement inaperçue, surtout avec l’élégance qu’elle peut faire preuve dans ses tenues. Autant qu’un point noir sur un fond blanc diras-t-on.
Mais cela ne rajoute que plus de caractère, et ne donne qu’une image d’un passé légèrement tumultueux.

Son corps est rarement vu à nu. Et dans ce cas-là, il y aurait plus d’une vieille cicatrices qui raconteraient un évènement passé. Elle ne cherche pas à les cacher, elle ne s’en vante juste pas, et ne cherche pas à les dévoiler plus que cela. Répondre aux questions qui y serait lié serait d’un ennuie. Imaginez. Devoir refaire le fil de votre vie quand vous ne voulez qu’une chose, avancer !
Amérique du Nord.
1970.

Une jeune fille née sur les terres américaines, de parents d’origines Hindou, débarquant tout juste d’Angleterre.
Parent pieux dans leurs croyances, ils élèvent leur petite fille, ainsi que les enfants qui suivirent, dans le pays de la liberté.

Rebelle dans sa jeunesse, la jeune fille n’avait rien de conventionnelle.
Loin de suivre le chemin que ses parents souhaitaient qu’elle adopte, ils durent se résigner bien assez vite à l’idée de la laisser faire ses propres choix. Ses parents voulaient la voir devenir avocate, chef cuistot d’un grand restaurant hindou, ou alors, commissaire de police. Des jobs acceptable en somme.
Ce n’est pas pour rien que dès le plus jeune âge, ils ont eu cette tendance à les pousser à étudier de plus en plus les lois, la cuisine en famille, les spécialités de leurs pays, ou encore les sciences en générale.
Mais son besoin d’être elle permit d’ouvrir la voie à son frère et sa sœur pour se libérer de ce joug familial, bien que le premier finît notable, et la seconde médecin, des carrières sommes toutes acceptables et très bien vu.
Finalement seule Maya avait dévié du chemin. Elle avait commencé par de la chaudronnerie, puis dans un métier d’art des armes, suivant en parallèle des cours de tir, pour finir armurière. S’étant même fait tatouer sur le visage. Autant dire que c’était difficile à accepter pour ses parents.
Elle finit même par diriger cette dernière.

Mariée et mère à ses 26 ans ; puis 28 et 31 ; elle eut droit, à son tour, à deux filles et un garçon. Qui chacun eut la liberté de choisir son chemin, sa route, au même titre qu’elle.

Sa vie, comme celle de sa famille, ne connut rien de très rocambolesque. Enfin, en tant qu’armurière, rien n’est toujours très simple. Surtout lorsqu’un petit gang se dit que braquer une armurerie c’est une bonne idée. Plot twist : non.
Des tirs, elle en a essuyé quelques un, et même dans la rue. Heureusement, elle s’en est sortie à chaque fois, plus ou moins bien. Elle y perdit un œil dans un de ses accrochages, à cause de l’éclat d’une balle. Autant dire qu’elle resterait défigurée a vie. Une nouvelle cicatrice indélébile à ajouter à la collection présente sur son corps.

En 2007, 2009 et 2010, successivement, ses parents repartirent en Albion, suivis par son petit frère. Sa petite sœur parti en mission dans le monde, avec des associations de médecin du monde. Sa première fille partie pour l’inde, dans la continuité de ses études en échanges commercial.
Et finalement, elle divorça de son mari, un américain des plus caucasiens. Leurs objectifs divergeaient, tout comme leurs sentiments. Souhaitant ne pas se détruire mutuellement, et garder une entente, au moins pour leurs enfant, ils en restèrent là.

En 2017, Sa plus grande, 21 ans, parti en Inde, dans la continuité de ses études pour les échanges internationaux et l’entente commerciale. Elle avait accompli son objectif : découvrir le pays qui coulait à moitié dans ses veines.
Encore aujourd’hui, Maya ne comprend pas comment sa fille peut autant apprécier ses origines, alors qu’ils n’y sont liés que par leurs sangs. Un coup de ses grands-parents surement.
Un peu avant la fin de l’année, elle partit retrouver ses parents pour les fêtes de famille, accompagner des deux derniers. Dans les faits, elle avait aussi laissé les commandes à un de ses subordonnées.

Ses parents déjà d’un âges un peu avancés, l’avait presque soudoyé pour qu’elle reste vivre ici, à Londres. Prétextant le besoin de l’avoir à leurs côtés pour cause de santé. Son frère habitait déjà ici, mais d’après eux, il ne leurs rendait plus autant visite qu’avant. Et si jamais l’un d’eux tombait de l’escalier ? Ou glissait ? A presque 80 ans ?
En somme, Maya c’est fait avoir, par sa gentillesse naturelle. Evidemment, le cas de sa sœur ne pouvait être évoqué. Elle était médecin, et partait dans le monde entier pour soigner les plus démunis. Autant dire que lui demander de rester auprès d’eux, ce serait compliqué.

Voilà un début de nouvelle vie, ici. Non sans rechigner. L’Europe. Le marché des armes y est plus sensible, moins ouvert, et les licences ne sont pas les mêmes. Devoir réobtenir les autorisations, et ne vendre qu’à l’état ou à des personnes ayant des permis très spécifique. Elle en soupirait d’avance.
Elle n’avait plus l’âge pour se casser la tête de la sorte. Elle ne toucherait certainement plus une arme à cause de ça, enfin, tant qu’elle serait dans le coin.
Ce n’est pas comme si elle pouvait ramener un fusil comme ça dans un avion de temps en temps. Non, ses armes chéries resteraient dans son garde meubles, pour le moment, dans les contrées américaines.

Autant se lancer dans quelque chose de moins fastidieux. Qu’elle maîtrise, que sa famille entière maîtrise. La cuisine. Notamment indienne.
Très loin d’avoir perdue la main, l’ouverture d’un petit restaurant indien en service rapide ne demandait qu’à trouver un local, signer quelques papiers, et évidement, financer. Ce n’était pas un problème quand on a été armurière, et que c’est l’un des plus gros marchés dans son pays d’origine.
Bon, autant faire ça deux, ou trois ans, jusqu’à prouver à ses parents qu’au bout de tout ce temps, ils pouvaient très bien se passer de sa présence.

Elle ne comptait clairement pas reste. Enfin. C’est ce qu’elle avait prévu. Cependant, le bombardement de la Russie contre son pays natal irradia, littéralement, ses projets de retour.
Le choc fut soudain.
A ce moment-là, sa petite-sœur médecin, et sa seconde fille de 20 ans jusqu’alors ; qui avait voulu suivre sa tante dans la santé ; se trouvaient là-bas.
Plus de nouvelle. Et elle le savait, elle l’avait ressentie. Elle avait perdue quelque chose. On lui avait arraché un de ses bébés, ainsi qu’un de ses piliers émotionnel.
Son lien c’était comme coupé, une partie d’elle a été brisé à ce moment-là.
Cependant, que pouvait-elle bien y faire.
Le deuil fut long, et pendant un temps, entendre parler de Russe ou de leurs pays provoquaient de grand moment de colère et de tristesse.

Le temps passa, et elle devint grand-mère à 51 ans. Sa fille avait trouvé un bon parti en Inde, et à 25 ans, la voilà déjà maman. Cela lui fit ressentir les cicatrices du deuil de sa seconde. Tous les morceaux n’étaient pas recollés, et ne le seraient pas en définitive. Cependant, elle apprit à accepter la situation.
Le monde évoluait, et elle ne pouvait plus suivre.
Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était vivre pour les siens.

Le monde commence à se faire in-sécuritaire, et l’avènement de groupes commencent à fleurir. Les Spetsnaz notamment, sont étrangement ceux qui l’effraie le plus.
Une peur indicible la prend à leurs encontre. Surtout depuis que son fils en fit les frais dans une rixe. Elle ne savait pas ce qu’il faisait là, et pourquoi il y était, mais une chose était sûre : sa mort était dû à un membre de ce groupe, lors de l’une de leurs missions.

Dès ce jour, elle a cherché un moyen de se venger, et de le faire en toute connaissances de causes. Elle avait donc besoin de moyen, et notamment, de remettre la main sur une arme.
Bien qu’assez peu doué en informatique, elle réussit à joindre, ou plutôt, à être jointe, par les Geysters. Enfin, par une personne dont elle ne sut rien. Elle se faisait évaluer, elle le sentait.
Le combat qu’elle souhaite mener ne passe pas par la mort, enfin, pas forcément. Elle n’hésitera pas un instant si elle doit abattre une cible, mais en toute mesure, elle réfléchira d’abord à la solution la plus efficace et la moins disruptive.

Mener des actions qui n’ont aucun lien avec sa vengeance ? Aucun problème. Même dépassé par l’évolution du monde, elle comprend qu’il doit changer. Donc mener un simple casse ne va pas contre ses convictions. Au contraire, si cela lui permet de trouver des informations, via l’accès à Crime.net, pour accomplir sa vengeance, alors autant le faire.

C’est ainsi, depuis plus de 7 ans, ce qui en fait potentiellement une des plus anciennes membres du groupes en termes de « braqueurs », elle porte sa vengeance comme un sacerdoce, et mène chaque action avec la recherche de la réussite la plus efficace.
« H.Owl », la chouette hurleuse, est peut-être connue, ou peut-être pas, après tout, la discrétion est le maître mot.
C’est ainsi que la vieille cache son identité derrière son petit restaurant, le « Naanny’s Dinner », ouvert au sein d’un quartier proche de la Tamise, non loin du Big Ben. Un restaurant indien des plus simples, une vingtaines de couvert maximum, mais aux senteurs orientales assurées.
Naanny vous accueillera comme il se doit, et sera là pour vous dorlotez, vous offrir tout cette amour qu’elle ne peut plus donner à ses proches.




Dernière édition par Crime.net le Sam 22 Oct - 12:22, édité 3 fois
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