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Dossier - Anastasia Kachkanova

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Carte d'identité
Genre: Homme
Âge: 4500 ans
Origine: Babylone
Orientation sexuelle: Etrange
Nom de code: L'Admin
Spécialité / Métier: Admin
Compétences: Max
Accréditations: Toutes
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Anastasia Kachkanova21 ansFémininRusseHétérosexuelleGardienne à VorkutlagЗолотко (Zolatka)SpetsnazLe rebelle"Accompagner tous mes chatons paisiblement vers leur libération."Commençons par le début. Anastasia, appelée dans l'intimité Nastia est une femme énigmatique qui parle d'une voix fluette en énigme. Enfermée depuis sa naissance en prison russe, elle a développé une froideur et une façon très particulière de communiquer. Il est difficile de la comprendre, elle s'exprime en métaphore et pour la suivre il faut la connaître pour savoir où elle veut en venir. Elle parle parfaitement le russe (sa langue maternelle), l'anglais, l'espagnol, le chinois et a quelques notions de japonais et de coréen, seulement tout le monde s'accorde à dire que quelque soit son niveau, elle garde un fort accent russe.

Je vous propose une petite visite dans sa psyché.

"Mes chatons sont importants à mes yeux."
Ses chatons ? Elle surnomme tout les détenus affiliés à ses étages comme ça. Chargée de s'occuper de leur état mental et physique, même si elle est perçue comme un ange tombé du ciel pour les désespérés des  bas fonds du goulag, elle n'est clairement pas une alliée. Elle les dorlote, les nourrit, les lave, les soigne, créant un fort lien affectif. Parfois si la douleur ne fait pas parler, l'espoir lui... peut être fatal face à une volonté ébranlée. Incitant gentiment, calmement, parfois avec beaucoup d'émotion, à parler, elle récolte les informations qu'on lui cède pour les rapporter à ses supérieurs. Une traîtresse angélique.
Pourtant, avec son rôle, elle n'arrive pas à détester ou à haïr ses détenus, elle pense même les aider en les délestant de ces secrets bien trop lourds à porter dans l'établissement. Elle leur permet de regagner une détention plus calme, car un détenu ayant livré tout ses secrets n'a plus à subir la torture, ou à rejoindre la mort qui sera de toute manière une délivrance pour eux. Une preuve d'amour parfaite à ses yeux, les accompagner dans la trahison de leurs principes et de leur morale...

Attentionnée et tendre avec eux, elle se sent importante à travers leurs yeux. Elle profite inconsciemment de leur malheur pour donner un sens à sa vie. Dans les bas fonds, elle porte une aura déesse de l'espoir, beaucoup supplient pour la voir arriver après une “séance d'interrogation”.

"Je n'ai pas peur d'être détesté, tant que mes chatons eux m'aiment..."
Souvent mal vue par ses camarades Spetsnaz, qui soit savent qu'elle travaille pour un secteur secret et donc qu'il vaut mieux l'éviter, soit qui connaissent ses occupations et ne tolèrent pas son attachement aux détenus qu'elle trahit. Perçue comme une traîtresse aux formes parfaites, un piège inné pour tout homme désespéré, elle a la sale réputation d'être une coéquipière instable. Elle renvoie également la triste réalité : la justice prônée par les Spetsnaz n'est qu'une façade qui autorise les pires méthodes pour obtenir ce qu'ils souhaitent. Incarner cette désillusion ne la dérange pas, sa tâche est bien trop grande pour s'occuper des dit-on.

Pire, elle en joue, se permettant de répondre avec énigme aux questions qu'on pourrait lui poser concernant sa morale ou ses motivations. Aussi, beaucoup sont gênés qu'elle assume sa position : elle appartient à la milice armée, sa peine a été prononcée à sa naissance, elle a pris une longue perpétuité. Elle n'est pas là pour défendre une justice, une morale, ou des principes, ni pour le monde, ni pour ses camarades, ni pour elle, elle est là pour remplir le rôle qui lui a été confié. Elle a fait un choix entre son service et la rue, au moins elle est payée, nourrie et logée.

"Si je bois ? Je consomme la vie."
Nastia n'a connu qu'un centre pénitencier dans sa vie, déguisé en garderie, mais un centre pénitencier tout de même, maintenant qu'elle touche un semblant de liberté, elle adore découvrir certains plaisirs de la vie qui sont parfois acquis par la majorité. Boire, manger, les loisirs, elle apprend à découvrir ces choses et bien qu'elle soit perdue à l'extérieur de Vorkutlag, elle adore s'abandonner dans ses découvertes. Ses jours hors service, elle adore boire, danser, fumer, faire ce que beaucoup de jeunes de son âge font.
Son passe-temps préféré est d'aller voir des expositions artistiques et de rester des heures à essayer de décrypter les intentions de l'artiste avec son regard tordu.

"L'humain est l'animal le plus difficile à comprendre, tu ne trouves pas ?"
Perdue dans ses relations sociales, dans les signaux qu'on lui envoie, dans les traditions... Tout est contradictoire, peu intuitif... La logique n'a que peu de place. Fidèle à sa personnalité désaxée, elle est d'une honnêteté froide, parfois enfantine et naïve. Joueuse, malicieuse, elle adore surprendre, se rendre mystérieuse, captiver par sa façon de répondre aux questions, toujours avec ce sourire énigmatique et innocent. Elle dérange, parfois fascine, elle donne cette sensation de flirter autour des contours de la plaque.

"Une vie normale ? Je ne sais pas si elle voudrait de moi..."
Anastasia connait bien les contes, les histoires pour enfant, promettant à chaque être humain de trouver sa moitié, d'avoir droit à un bonheur qui doit se mériter... Tout ces modèles vendus comme étant une vie parfaite et rêvée, elle aurait pu avoir envie de courir après eux, pourtant, elle l'aime sa prison étriquée et sécuritaire. Dérangée, elle ne se pense pas faîte pour une vie classique et droite, elle flirt avec les contours de la plaque vous vous rappelez ?

Elle profite de l'instant, agissant toujours par instinct.
Le fameux charme russe hein ? Anastasia est l’incarnation de celui-ci, bien qu’elle garde quelques excentricités qui la rendent unique et soit attachante soit étrange. Pour commencer, parlons de ce qui est facilement visible, sa taille. Un mètre soixante six, une taille moyenne qui ne la démarque pas. Sa silhouette est délicate et élancée, elle est taillée pour la discrétion. Une petite poitrine, une taille fine, une silhouette toute en courbe, la séduction est une de ses armes favorites. Amusée par les codes de la séduction, elle adore creuser cette étrangeté et ce mystère qu’elle dégage pour se rendre inatteignable et donc se faire désirer.

Sa chevelure de jais est lisse et soyeuse, bordant son visage à la peau blanche immaculée accentuant ses airs de matryoshka. Pâlotte, elle a l’air malade dès qu’elle accumule un peu de fatigue. Ses yeux sont d’un vert perçant, elle semble toujours sonder ceux qui croisent son regard.

Souvent, elle affichera un sourire malicieux et un regard joueur. Très féline dans son attitude, elle parle des mains, joue de sa tête pour exprimer ses émotions, sa chorégraphie gestuelle est intéressante à examiner. Fluide, gracile et pourtant avec des propos si durs et si sombres, elle reste fascinante pour ceux qui n’ont pas l’habitude des profils aussi atypiques.

Pendant son service, elle porte une tenue sage, rappelant celle d’une hôtesse. Une jupe crayon noire, un chemisier blanc correctement boutonné, une cravate, des derbies bien cirées, ses cheveux sont souvent attachés d’une couette ou d’un chignon et elle porte une masque neutre, un visage minimaliste qui sourit avec des joues rouges dessinées avec négligences sans doute par la surveillante. Pour ses missions hors Vorkutlag elle porte des tenues renforcées entièrement noires et un casque étrange à l’effigie d’une créature terrifiante, sombre, au sourire inquiétant.
Pour sa vie civile, elle a un style de sage jeune femme, sans réel personnalité. La mode n'a jamais été dans son éducation. Elle sait tout de même s'habiller en fonction des situations, chic, casual, sport, mais elle ne sera jamais originale dans sa façon d'accorder les couleurs et les coupes.
Naître en Russie n'est pas souvent signe d'un avenir stable et serein. La roulette de la vie n'est pas souvent tendre en Russie, Anastasia fait partit de ces enfants de la patrie qu'on préférait oublier. Une tâche sombre qui a été enfermé dans la froideur de Kresty, une féroce prison du pays. Comment un bébé peut se retrouver dans un tel système ? Quand sa mère enceinte a été capturée pour haute trahison. La politique russe au sujet des femmes enceintes en prison est très stricte : Elles accoucheront en prison, leurs enfants seront sur place, élevé par le système carcéral utilisé comme moyen de pression pour les familles à l'extérieur et pour tenir les mères à carreau. Un système cruel, qui n'a pas réellement fait souffrir la petite Anastasia. La propagande russe lui a rapidement apprit que sa mère était une vilaine incarcérée, que sa famille n'étaient pas de bonnes personnes et que pour survivre, elle devrait suivre les règles sans se poser de question.

Enfermée dans ces cellules vaguement déguisées en crèche, elle grandit. École, sport, arts militaires, les enfants éduqués en prison étaient formatés pour faire de parfaits citoyens mais surtout de bons soldats. Nastia a développé son caractère dans ces conditions, elle obéit sans se poser de question, a de faibles repaires sociables et très peu de contact avec sa mère qui malgré la présence de sa fille continue ses actions activistes depuis sa cellule -du moins comme elle le peut-.

Lors de ses sept ans, les États-Unis chutèrent dans un fracas qui résonne jusqu'aux prisons russes. On fêta cet évènement, un jour de célébration morbide où on grava cette victoire dans des traditions étranges survenant chaque année dans son bloc carcéral. Des chats russes, un bon repas -pour une fois- et une journée sans travail et sans étude... Anastasia aime ce jour, sans réellement savoir à quoi il correspond réellement dans la réalité. Il s'agissait d'une victoire russe sur le monde, elle était bien trop jeune pour se douter des impacts que ça a pu avoir.

Son enfance n'a pas été triste à ses yeux, elle était une norme. Difficile d'imaginer comme d'autres enfants pouvaient vivre, son quotidien était rythmé par les entraînements, les repas, les cours et le repos. Son avenir était tracé pour sa majorité : la rue ou l'armée. Bien sûr, l'armée était la seule solution viable pour elle, l'extérieur restait trop vaste et terrifiant pour elle.

Son monde jusqu'ici facile, il suffisait de suivre les règles pour avoir des avantages, fut ébranlé par la mort de sa mère. Épuisée par le travail et les séances de "redressements" qu'elle subissait depuis dès années, ont finit par avoir raison d'elle et même si la jeune Nastia ne l'avait pas souvent rencontré, elle se sentait privée de quelque chose d'important. Un vide qu'elle ne pourrait jamais combler et pour cette jeune adolescente de 12 ans, la nouvelle fut terrible. Pourtant, elle ne l'exprima pas, enfermant tout ces sentiments négatifs dans un coin, les enfouissant si loin qu'elle n'aurait plus à y faire face. Son quotidien reprit, comme si sa mère n'avait été qu'un détail insignifiant de son existence.

Sa famille a bien cherché de reprendre contact avec elle, mais enfermée dans un tel système, il n'était pas aisé de le faire. Ils réussirent bien à graisser la patte d'un gardien pour venir déposer une lettre à l'adolescente âgée de 16 ans, mais celle-ci ne souhaita pas y répondre. Leurs mots étaient doux et réconfortants à son égard, mais ils n'étaient que des inconnus et des parias de la société. Si elle voulait s'en sortir, elle ne devait pas réfléchir à ces "détails". Son père était lui aussi un criminel après tout... elle ne devait pas entrer en contact avec eux.

Heureusement pour elle, on ne l'exclue pas dès le décès de sa mère de la prison. De toute manière où pouvait-elle aller ? Trop jeune pour l'armée, hors de question de la restituer à sa famille pour ruiner ce beau travail de propagande... On la garda. Jusqu'à sa majorité, elle fut scolarisée et entraînée en prison avec pour projet de rejoindre la fière armée Russe. Pourtant, une organisation nommée Spetsnaz vint à sa rencontre, à elle et quelques camarades prêts eux aussi à rejoindre l'extérieur ou l'armée. On lui fit une proposition simple : devenir gardienne à Vorkutlag ou poursuivre sa vie dans le système russe classique. Que ce soit clair, qui serait assez fou pour accepter une telle proposition ? Qui aurait envie de confier le reste de sa vie à une faction armée ? Nastia. Sa vie en prison lui convenait et la quitter aurait été un déchirement... On lui permettait de continuer de vivre dans un domaine qu'elle connait par cœur, de passer de l'autre côté de la grille en étant payée et logée. Le calcul fut rapide.

Elle passa les sessions d'entraînements, les séances psy, les visites médicales, pour enfin pouvoir faire son entrée officielle dans le pénitencier sécurisé des Spetsnaz. D'abord simple gardienne au niveau 0, elle s'enfonça rapidement dans les strates du goulag en prouvant sa motivation -sans doute morbide- à garder sa place et tenir son rôle. Un rôle qui se construit naturellement au contact des prisonniers qu'elle comprend sans doute mieux que la majorité des Spetsnaz, elle a vécu toute sa vie en prison... elle sait ce dont ils ont besoin : du réconfort. Elle connait la dureté de la vie en prison, ce que cela implique et donc à quel point une oreille amicale pour changer la donne mais surtout délier les langues. Ses méthodes fonctionnent, l'amenant peu à peu vers la zone morte.

On parle d'une jeune femme, vêtue de blanc, une démarche et une gestuelle angélique, qui se promène dans certains couloirs de la zone morte pour venir en aide aux malheureux qui continuent de tenir leur langue. Beaucoup ne jurent que par elle, espère sa prochaine visite à chaque instant pour regagner une once de dignité, pendant que d'autres rêvent de son arrivée soudaine pour les réconforter chaudement dans une tendre étreinte. La zone morte est devenue un terrain de jeu où elle peut vivre enfin paisiblement parmi ceux qui ont besoin d'elle.
Ses chatons lui vouent une adoration presque sectaire, une adoration qu'elle entretient avec soin.


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